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En 1517, le terrier de la seigneurie du roi à Noisy mentionne "Article Ier. Une maison appelée l’hostel seigneurial avec prisons, cour, puit, étable à chevaux, grange, pressoir, et foulerie garnie de cuves, un jardin, le tout entretenant un fond de terre assis devant le carrouge, tenant d’une part audit carrouge, à Jean Maheut et au jardin ci-après, aboutissant par haut à Jean Villot l’Ainé et par bas à Jean Charton à cause du bail qui lui a été fait par feu Maître Nicolas Balue pour lors seigneurs dudit Noisy. Article 2. Le jardin appelé jardin du pressoir où se trouve plusieurs caves assis devant le cimetière...tenant d’une part au jardin dudit hôtel seigneurial, d’autre part à la maison de l’infirmier de Saint-Maur et à la rue devant le cimetière, aboputissant par haut à Jean Villot et audit infirmier et pas bas à Jean Laheut et aux hoirds feu Regnault et Damoiselet". La déclaration faite en 1644 de la consistance de la terre et seigneurie de Noisy-le-Sec mentionne "deux maisons seigneuriales vieilles et caduques en l’une desquelles sise au haut bout du village, est ung beau colombier à pied et ung clos d’arbres fructiers contenant deux arpens, ung petit jardin, grande basse court, corps de logis pour ung fermier, granges et etsables. L’autre scituée sur la grande place du carrefour du dit lieu où la justice est exercée, tenant par derrière à l’esglise du dit lieu, contenant tout ce qui est nécessaire pour l’habitation d’un fermier et deux grands pressoirs et arbres, un jardin enclos d’arbres fruictiers d’environ deux arpents".