Au cœur de la Plaine Saint-Denis, aux numéros 124 et 126 de l’avenue du Président Wilson, deux immeubles de logements ont abrité jusqu’en 1994 les locaux de la Société du chemin de fer industriel de la Plaine Saint-Denis et d’Aubervilliers (CFI). Établissement créé en 1882, il joua un rôle majeur dans l’essor industriel de ce territoire par l’aménagement d’un réseau ferré privé permettant aux sites d’activités de se raccorder aux réseaux ferrés du Nord et de l’Est, au canal de Saint-Denis, ainsi qu’aux Entrepôts et magasins généraux de Paris (EMGP).
Un établissement majeur dans l’histoire de la Plaine Saint-Denis
Si le CFI ne constitua pas un réseau unique en région parisienne - d’autres infrastructures similaires furent créés ultérieurement au Bourget et à Gennevilliers - il fut sans conteste le plus dense avec ses 15 kilomètres de voies desservant jusqu’à 85 clients, ou « embranchés », répartis sur un espace de près de 120 ha. Son histoire reste ainsi indissociable de celle de la Plaine tant il a participé à transformer ce territoire en une zone monofonctionnelle.
Structurant progressivement l’espace par la constitution d’un nouveau découpage parcellaire, résultat d’une habile stratégie de rentabilisation foncière, il généra également un paysage singulier dans lequel les voies ferrées serpentent entre les usines et traversent en de multiple points rues et avenues en formant autant de coupures urbaines.
Très dépendante du dynamisme industriel du secteur, l’activité périclita avec la désindustrialisation de la Plaine. La tertiarisation du territoire rendit inutile le recours à ce chemin de fer tandis que la requalification urbaine engagée depuis les années 1990 effaça progressivement les traces de sa présence. Cependant, et au-delà des bâtiments du siège, des tronçons de voie restent encore visibles au détour d’une rue ou à l’intérieur d’anciennes cours d’usines, témoignant de l’organisation de cet espace régi par le lien étroit entre infrastructure? ferroviaire et développement industriel. Un locotracteur électrique à accumulateurs AEG datant de 1930 ainsi qu’un wagon citerne appartenant au CFI ont également été préservés, protégés au titre des monuments historiques en 1994, et exposés depuis dans les jardins des EMGP au 50 avenue du Président Wilson.
Du chantier de taille de pierres au chemin de fer privé
Aux origines de cette entreprise, l’association en 1872 de Felix Civet (1829-1898), exploitant de carrières de pierres dans l’Oise, et Pierre Riffaud (1830-1891), entrepreneur de maçonnerie, au sein de la société Riffaud & Compagnie. En combinant leurs activités, les deux hommes constituèrent un ensemblier en capacité de répondre aux besoins issus des grands aménagements parisiens réalisés dans la continuité de ceux du Second empire. Leurs principales réalisations témoignent encore aujourd’hui de leur renommée : reconstruction de la Caisse des Dépôts et Consignations, du Palais Royal, de l’Hôtel de Ville, puis construction de la Chambre des députés à Versailles, du Crédit Lyonnais, des bureaux du Chemin de fer de l’Est, ou encore du château de Nathan-James Rotschild à Gouvieux.
En 1881, les entrepreneurs décidèrent de délocaliser sur la Plaine Saint-Denis leur chantier de taille de pierre situé jusqu’alors dans Paris pour la qualité de desserte du territoire et l’étendue des espaces encore disponibles à même de répondre au développement rapide de leur activité. Le terrain de quatre hectares acquis vraisemblablement auprès de Jules Faucille [5], fabricant de toiles cirées [6], se trouvait sur l’actuelle avenue du Président Wilson, face à la gare de marchandise de la Plaine et à proximité de la gare annexe de la Chapelle par laquelle transitaient déjà les pierres tirées de leurs principaux foyers d’extractions de Saint-Vaast-les-Mello, Saint-Maximin (Oise), d’Euville (Meuse), de l’Yonne, de la Seine-et-Oise...
Permettant de rapprocher lieux d’approvisionnement et lieu d’exploitation, le site de la Plaine offrait également la possibilité de regrouper en un même lieu les services annexes à l’activité de construction : administration, bureaux d’études et écuries. Le bâtiment que la société récupéra de la propriété Faucille, remarquable édifice à l’architecture éclectique d’inspiration néo-Louis XIII , constituait en outre pour elle une vitrine exceptionnelle sur l’avenue Wilson.
Une rupture de charge à la gare de marchandise obligeait toutefois l’entreprise à terminer l’acheminement des pierres jusqu’à leur chantier situé de l’autre côté de l’avenue à l’aide d’imposants fardiers tirés par des chevaux. Souhaitant s’affranchir de cette contrainte, Riffaud et Civet envisagèrent alors de relier directement leur site à la voie de chemin de fer.
Profitant des dispositions du plan? Freycinet favorables au développement des chemins de fer d’intérêt local et industriel, la société obtint l’accord de la Compagnie du Nord de s’embrancher à leur réseau. Une fois les autorisations de la Ville et de la préfecture acquises pour installer cette voie ferrée au travers de la chaussée et en coupant la ligne de tramway, l’entreprise aménagea une première ligne en 1884 sous la supervision de l’ingénieur Eugène Dollot.
Ce qui n’était alors qu’un simple embranchement particulier offrit de nouvelles perspectives à tous les industriels situés à l’est de l’avenue et jusqu’alors séparés des infrastructures ferroviaires. La fabrique d’engrais Saint-Gobain installée à Aubervilliers fut la première à s’y intéresser et à se rapprocher de Civet et Riffaud pour demander le prolongement de leur embranchement jusqu’à son usine. L’entreprise perçut les avantages de ce raccordement notamment pour l’expédition rapide de ses superphosphates dans les régions agricoles du nord. Des demandes similaires provinrent des établissements Tancrède (Aubervilliers) puis des Bougies de l’Etoile (Saint-Denis). Ce démarchage incita les entrepreneurs de travaux à former, en complément de leur activité d’origine, une société spécifique pour l’extension de leur réseau ferré : le Chemin de fer industriel de la Plaine Saint-Denis et d’Aubervilliers était né.
Le CFI ou la création d’un lotissement industriel sur la Plaine
Si un rapprochement avec les industriels de la Plaine fut nécessaire pour évaluer la rentabilité d’un tel projet, il semble que la société Riffaud & Cie apporta seule les capitaux de sa nouvelle entreprise en s’appuyant sur les bénéfices tirés de ses activités de travaux publics.
Les entrepreneurs ne comptaient en outre pas se limiter à l’aménagement d’un simple réseau ferré mais envisageaient de créer sur la Plaine un important lotissement industriel doté des infrastructures et services nécessaires aux entreprises. Après avoir acquis plus de 14 hectares de terrain auprès des propriétaires du secteur, Civet et Riffaud cherchèrent ainsi à prolonger leur ligne jusqu’aux EMGP. Le site étant lui-même raccordé à la gare de marchandises de Pantin, via le chemin de fer de la Plaine Saint-Denis à Pantin, le chantier de taille de pierre ainsi que l’ensemble du CFI furent dès lors reliés aux deux réseaux des chemins de fer du Nord et de l’Est. En deux années, Civet et Riffaud firent ainsi émerger aux portes de Paris un vaste espace relié par fer et par eau aux régions du nord et de l’est de la France.
En 1886 une nouvelle étape fut franchie. Le CFI obtint l’autorisation de la ville de Paris d’aménager un port sur le canal de Saint-Denis, au niveau de la rue de la Haie Coq, et de le relier à son réseau. Les demandes de raccordement provenant tant d’établissements existants que de nouvelles installations se multiplièrent. Entre 1884 et 1889, le nombre d’embranchés passa de quatre à vingt, pour une évolution du trafic de marchandise de 25 640 à 170 145 tonnes . Jusqu’alors contenu dans un périmètre délimité par l’avenue Wilson, la rue du Landy, le canal et les EMGP, le réseau s’étendit plus au nord durant la Première Guerre mondiale en traversant l’actuelle rue Cristino Garcia, puis, plus tard, l’avenue Francis de Pressensé. En 1935, période de pleine apogée, le CFI comprenait 85 embranchés répartis sur une zone de 120 hectares entièrement dédiée à l’industrie pour un trafic de 610 000 tonnes de marchandises. Face à une telle réussite l’activité dionysienne de taille de pierre fut progressivement réduite sans pour autant compromettre ailleurs l’exploitation des carrières et autres chantiers.
Le fonctionnement du chemin de fer industriel
Le CFI tirait ses principaux revenus de l’exploitation de son réseau ferré et de la location de ses terrains ou bâtiments aux entreprises embranchées. Les baux proposés étaient variables, de quelques mois à plusieurs années, régulièrement avec promesse de vente. Loties à la demande, les surfaces des terrains se montraient également très modulables, de moins de 1000 m² (société Rebu) à près de 10 000 m² (Soudre-Hayman ; Nozal). Chaque site était raccordé au réseau jusqu’aux portes de l’établissement, à charge pour l’occupant d’aménager ses espaces intérieurs.
Le CFI réceptionnait sur ses terrains les wagons livrés par la Compagnie du Nord, puis effectuait une répartition par entreprise avant de les conduire à ses clients à l’aide de locotracteurs. Les wagons une fois vidés repartaient en gare de marchandise. Pour ceux provenant du réseau de l’Est, les réceptions et les retours étaient réalisés aux Magasins généraux, sur la rue du Pilier, à Aubervilliers.
Une zone de triage avait été aménagée à l’entrée du site pour réaliser le dispatching. Elle comprenait à son origine trois à quatre voies, des garages (disparus) et des ateliers d’entretien (disparus). A partir des années 1920, le faisceau s’étendait sur onze à treize voies pour former un ensemble de 500 mètres de long et 43 mètres de large.
En contre partie des autorisations de raccordements aux réseaux nationaux la société payait une redevance aux gestionnaires des voies, ainsi qu’à la commune, à l’État et au Département pour droit de passage sur la voirie publique. Sur le port de la Haie Coq, la redevance versée à la ville de Paris était évaluée à la tonne de marchandises chargée et déchargée.
Pour satisfaire à l’ensemble de ses activités, la société employa de 30 à 50 personnes sur une période relativement longue. Les métiers se diversifièrent progressivement suivant l’évolution des besoins. La proportion des postes affectés à l’aménagement du réseau, terrassiers, maçons et forgerons, diminua ainsi au profit de ceux liés à l’exploitation. Les chauffeurs, conducteurs de grues et machines, et les manutentionnaires représentèrent jusqu’à deux tiers du personnel, loin devant les salariés en charge de l’entretien des installations.
Des architectures de représentation, patronales et lucratives
En complément des terrains utilisés pour l’exploitation du chantier de taille de pierre et du chemin de fer industriel, la société fit édifier divers bâtiments aux côtés de ceux qu’elle récupéra lors de son arrivée.
La première bâtisse (A), mentionnée plus haut, fut vraisemblablement acquise auprès de Jules Faucille vers 1881. Regroupant les divers services du chantier Riffaud & Cie, certaines surfaces furent également aménagées en logements pour les ouvriers du chantier comme pour ceux du CFI. Rien d’exceptionnel toutefois lorsque l’on sait que Felix Civet avait engagé des initiatives similaires pour les carriers de ses exploitations. [7]
Cependant, à la différence de ses lotissements patronaux de province, les logements ne furent pas ici exclusivement réservés aux salariés de l’entreprise. Aux côtés des tailleurs de pierres et manutentionnaires du CFI, se retrouvaient des personnels de la verrerie Legras voisine, de la Compagnie du Nord ou de la savonnerie des Deux mondes, puis des contremaitres et agents de commerce, mais encore des instituteurs et des médecins, soit une population très diversifiée correspondant davantage à celle des immeubles de rapport qu’à du logement ouvrier stricto sensu. [8] . L’objectif de rentabilité immobilière s’avéra donc tout aussi important pour Civet et Riffaud que celui de loger leur personnel.
Cette double préoccupation se confirma en 1908 lorsque l’entreprise fit surélever de trois niveaux le bâtiment pour y créer de nouveaux logements. Cette transformation ne sembla pas correspondre à un accroissement significatif des effectifs mais bien à une volonté de développer et faire fructifier son patrimoine.
Réalisés par l’architecte Anatole Laquerrière tous ces aménagements s’établirent toutefois dans l’idée de conserver au bâtiment une certaine qualité architecturale, gage du maintien de son rôle de "vitrine" pour l’entreprise. Si la silhouette de ce que l’on surnomma longtemps « le château de la Plaine » fut ainsi radicalement modifiée suite à l’écrêtage de sa toiture, un soin fut apporté aux matériaux et à la modénature? afin de lui préserver son esprit néo-Louis XIII*.
Preuve supplémentaire de cette quête d’optimisation foncière, une opération analogue fut conduite quelques années auparavant sur un bâtiment contigu du "Château" (B). Édifié vers 1884 pour marquer l’accès au chantier de taille et au réseau CFI, ce qui n’était à son origine qu’un double porche sous lequel passaient wagons et fardiers fut surélevé vers 1900 pour être transformé en immeubles de rapport. La voie de raccordement ayant été déplacée, les passages devenues obsolètes furent comblés, celui de droite aménagé en entresol. Au-dessus d’eux furent élevés trois niveaux supplémentaires entièrement dédiés aux logements. A l’inverse du précédent bâtiment, celui-ci fut entièrement conçu par Riffaud et Civet, pour leur usage, et de surcroît en utilisant les pierres extraites de leurs carrières. La mise en œuvre fut confiée à l’architecte Anatole Laquerrière qui réalisa un bâtiment sobre mais dont l’aspect général fut enrichi d’un appareillage? de pierres soigné et une modénature discrète constituée de tables architecturales, bandeaux, encadrement? de baies? et corniche?. Avec son rez-de-chaussée? en arcades entresolées traitées en bossage à refend?, l’ensemble présente une élégance "sévère" s’apparentant à celle des immeubles parisiens du XVIIIe siècle. La façade arrière, traditionnellement moins noble que celle sur rue, fut élevée quant à elle en moellons de pierre enduits de plâtre.
Une mise en œuvre encore plus sommaire fut exécutée sur un troisième bâtiment (C) situé entre la cour et le chantier. Affecté dès son origine à l’habitat, ce dernier présentait dans la hauteur de ses quatre étages une structure? métallique ou en bois hourdie de briques enduites de plâtre peint. Seul son rez-de-chaussée comprenait des éléments de pierres dures, pour la maçonnerie des piliers entre lesquels étaient aménagés deux passages sous porche conduisant au chantier de taille ainsi qu’au réseau du CFI. Lors du comblement des arcades donnant sur l’avenue, ces porches furent également modifiés, comblé et transformé en réserve pour l’un, puis aménagé en entresol pour l’autre.
La déplacement du raccordement ferroviaire à quelques mètres plus au sud de l’accès initial, et qui permit le comblement des porches, s’accompagna de la construction d’un nouveau bâtiment en 1900 (D-disparu). Marquant l’entrée du site au n°122 de l’avenue, ce pavillon? d’un étage regroupait les bureaux des divers services de l’entreprise. Attribué par plan à l’architecte Édouard Arnaud, il fut vraisemblablement surélevé de deux niveaux vers 1917 par Anatole Laquerrière. Les terrains sont occupés depuis 2007 par la médiathèque Don Quichotte. Les immeubles de logements appartiennent quant à eux à des bailleurs sociaux.
Du déclin économique à la requalification urbaine
Les dégâts occasionnés par les bombardements alliés d’avril et août 1944 sur la Plaine n’entravèrent pas la reprise de l’activité du CFI au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Recentrée sur la seule exploitation du réseau ferroviaire, la société poursuivit son développement jusqu’au début des années 1960. A partir de cette période les effets de la politique de décentralisation? industrielle initiée par la DATAR dix ans plus tôt se ressentirent et les entreprises du secteur commencèrent à se délocaliser en province.
L’aménagement de l’autoroute A1 qui scinda l’avenue Wilson en deux se répercuta également de manière néfaste sur le paysage économique et urbain du territoire. L’exode industriel se poursuivit, les embranchés du CFI quittèrent la zone, le trafic de marchandise se réduisit passant de 569 000 tonnes pour 45 embranchés en 1961 à 439 000 tonnes et 38 embranchés en 1971.
La crise économique du milieu des années 1970 accéléra le déclin industriel de la Plaine et conséquemment celui du CFI. Le trafic diminua de 191 000 tonnes pour 27 entreprises en 1979 à environ 100 000 tonnes pour une poignée d’embranchés en 1985.
Les effectifs suivirent cette même courbe descendante, entre 1960 et 1985 le personnel fut réduit de 50 à 13 salariés. La fermeture du dépôt de matériel métallurgique Nozal en 1994, dernier embranché du réseau, signa la cessation définitive de l’activité du CFI.
Cédés au groupe d’investissement Magnant, les terrains furent valorisés dans le cadre du projet urbain de la Plaine qui, initié au milieu des années 1990, s’acheva vingt ans plus tard. Le réseau ferroviaire disparu, l’activité de taille de pierre ainsi que les exploitations furent reprises par la société Rocamat dont le siège se trouve à l’Ile-Saint-Denis.
Aux façades de meulière recouvertes de briques rouges et de décors en pierres de la construction d’origine furent associées sur les niveaux supérieurs des briques rouges et blanches habilement appareillées pour former des tables architecturales, chaînage? d’angles harpées et autres encadrement de baies dans la continuité de la modénature initiale.
Date de construction
1884; 1900; 1917
Organisme
service du patrimoine culturel de la Seine-Saint-Denis
Date de découverte ou d'enquête
1989; 2010
Destination successive
immeubles de logements
Source
Arch.de Paris : D26J ; AD 93 ; AN : LH/540/19
Auteur
Anatole Laquerriere (architecte) ; Edouard Arnaud (architecte) ; Riffaud et Civet (entrepreneur) ; Eugène Dollot (ingénieur-conseil)
Qualification de datation
campagne(s) de construction
Parties constituantes
bureaux; logements; voie ferrée
Illustrations
Le faisceau ferré du CFI une fois passée le triage situé en arrière plan?.
N° 1030455 - jpg
- 1698 × 1269 pixels
Détails
Crédits |
Collection Raymond Le Moing © CFI |
Dimensions |
1698 × 1269 pixels |
Résolution |
2.2 Mpx |
Poids |
354 kio |
Date |
25 mars 2011 |
Fichier |
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N° 1030459 - jpg
- 508 × 664 pixels
Détails
Crédits |
Collection Raymond Le Moing © CFI |
Dimensions |
508 × 664 pixels |
Résolution |
0.3 Mpx |
Poids |
62.5 kio |
Date |
25 mars 2011 |
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Locotracteur électrique à accumulateurs AEG mis en service sur le réseau du CFI en 1930 et (…)
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- 3210 × 2118 pixels
Détails
Crédits |
Collection Raymond Le Moing © CFI |
Dimensions |
3210 × 2118 pixels |
Résolution |
6.8 Mpx |
Poids |
472.1 kio |
Date |
25 mars 2011 |
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Le raccordement du CFI, aujourd’hui disparu, passait sous ce porche pour rejoindre le réseau des (…)
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- 800 × 1067 pixels
Détails
Crédits |
Photo Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
800 × 1067 pixels |
Résolution |
0.9 Mpx |
Poids |
77.5 kio |
Date |
25 mars 2011 |
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Ancien bâtiment dit "Chateau" de la Plaine, surélevé de trois niveaux vers 1908 par le CFI pour (…)
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Crédits |
Collection Raymond Le Moing © CFI |
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1024 × 691 pixels |
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79.1 kio |
Date |
25 mars 2011 |
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La double arcade marquait initialement l’entrée du chantier de taille de pierre et du réseau du (…)
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Crédits |
Photo Jacques Mangin © Département de la Seine-Saint-Denis |
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452 × 640 pixels |
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84.3 kio |
Date |
25 mars 2011 |
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Un convoi du CFI franchit l’avenue du Président Wilson pour rejoindre le réseau des sociétés (…)
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- 553 × 798 pixels
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Crédits |
Collection Raymond Le Moing © CFI |
Dimensions |
553 × 798 pixels |
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0.4 Mpx |
Poids |
125.6 kio |
Date |
25 mars 2011 |
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De gauche à droite, l’ancien bâtiment dit "château de la Plaine" transformé en immeuble de (…)
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Détails
Crédits |
Collection Raymond Le Moing © CFI |
Dimensions |
1687 × 1216 pixels |
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2.1 Mpx |
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473 kio |
Date |
25 mars 2011 |
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Plan? du rez-de-chaussée? et du 1er étage de l’immeuble de logement donnant sur cour.
Signé (…)
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- 706 × 573 pixels
Détails
Crédits |
© Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, 35/8 |
Dimensions |
706 × 573 pixels |
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Poids |
200.3 kio |
Date |
25 mars 2011 |
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Panneau informatif du CFI placé au niveau du passage du raccordement le long des anciennes (…)
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- 1024 × 768 pixels
Détails
Crédits |
Photo Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
1024 × 768 pixels |
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0.8 Mpx |
Poids |
94.6 kio |
Date |
25 mars 2011 |
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Locotracteur électrique AEG et wagon-citerne installés dans les jardins des EMGP suite à leur (…)
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- 768 × 576 pixels
Détails
Crédits |
Photo Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
768 × 576 pixels |
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Poids |
473 kio |
Date |
25 mars 2011 |
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Wagon-citerne du CFI installé dans les jardins des EMGP.
En arrière-plan?, le locotracteur (…)
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- 768 × 576 pixels
Détails
Crédits |
Photo Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
768 × 576 pixels |
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Poids |
445.4 kio |
Date |
25 mars 2011 |
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N° 1030530 - jpg
- 953 × 586 pixels
Détails
Crédits |
Collection Raymond Le Moing © CFI |
Dimensions |
953 × 586 pixels |
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0.6 Mpx |
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418.6 kio |
Date |
25 mars 2011 |
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Ce wagon-citerne contenait des produits nécessaires à l’entretien du réseau du CFI (désherbant).
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- 953 × 661 pixels
Détails
Crédits |
Collection Raymond Le Moing © CFI |
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953 × 661 pixels |
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481.3 kio |
Date |
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Au premier plan?, atelier et remise des locotracteurs. Au centre les voies de triage.
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- 776 × 586 pixels
Détails
Crédits |
Collection Raymond Le Moing © CFI |
Dimensions |
776 × 586 pixels |
Résolution |
0.5 Mpx |
Poids |
397.2 kio |
Date |
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Locotracteur diesel Moyse utilisé par le CFI pour les manoeuvres.
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- 875 × 590 pixels
Détails
Crédits |
Collection Raymond Le Moing © CFI |
Dimensions |
875 × 590 pixels |
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0.5 Mpx |
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345.2 kio |
Date |
25 mars 2011 |
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Le triage du CFI, au centre, et la diffusion du réseau sur la Plaine-Saint-Denis.
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- 880 × 595 pixels
Détails
Crédits |
Collection Raymond Le Moing © CFI |
Dimensions |
880 × 595 pixels |
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0.5 Mpx |
Poids |
480.2 kio |
Date |
25 mars 2011 |
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Plan? de l’aménagement de l’ancien porche en deux niveaux de rez-de-chaussée? et d’entresol de (…)
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- 650 × 939 pixels
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Crédits |
© Archives municipales de Saint-Denis, 35/5 |
Dimensions |
650 × 939 pixels |
Résolution |
0.6 Mpx |
Poids |
495.9 kio |
Date |
25 mars 2011 |
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Passage sous proche de l’entrée initiale du chantier de taille de pierres et du réseau CFI. (…)
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Crédits |
Photo Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
768 × 576 pixels |
Résolution |
0.4 Mpx |
Poids |
376.9 kio |
Date |
25 mars 2011 |
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N° 1030642 - jpg
- 690 × 938 pixels
Détails
Crédits |
Collection Raymond Le Moing © CFI |
Dimensions |
690 × 938 pixels |
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0.6 Mpx |
Poids |
664.9 kio |
Date |
29 mars 2011 |
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Provenant du réseau national, le raccordement CFI longe l’usine des lessives Phenix (au fond), (…)
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Détails
Crédits |
Collection Raymond Le Moing © CFI |
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888 × 591 pixels |
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0.5 Mpx |
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427.7 kio |
Date |
24 juin 2011 |
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La voie de raccordement du CFI au réseau national longeait les ateliers de l’usine de lessive (…)
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- 459 × 577 pixels
Détails
Crédits |
Photo Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
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459 × 577 pixels |
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0.3 Mpx |
Poids |
226.5 kio |
Date |
24 juin 2011 |
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N° 1031268 - jpg
- 963 × 637 pixels
Détails
Crédits |
Collection Raymond Le Moing © CFI |
Dimensions |
963 × 637 pixels |
Résolution |
0.6 Mpx |
Poids |
415.5 kio |
Date |
24 juin 2011 |
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Gravure du Château de la Plaine, acheté par Civet et Riffaud pour y installer leur chantier de (…)
N° 1031269 - jpg
- 796 × 572 pixels
Détails
Crédits |
Collection Raymond Le Moing © CFI |
Dimensions |
796 × 572 pixels |
Résolution |
0.5 Mpx |
Poids |
443.3 kio |
Date |
24 juin 2011 |
Fichier |
003_lechateau01_vgn.jpg |
N° 1030449 - jpg
- 851 × 908 pixels
Détails
Crédits |
Archives départementales de Seine-Saint-Denis © Connaissance du rail |
Dimensions |
851 × 908 pixels |
Résolution |
0.8 Mpx |
Poids |
181.3 kio |
Date |
25 mars 2012 |
Fichier |
cfi1890-2.jpg |
N° 1030451 - jpg
- 1536 × 1054 pixels
Détails
Crédits |
gallica.bnf.fr © Ecole nationale des ponts et chaussées |
Dimensions |
1536 × 1054 pixels |
Résolution |
1.6 Mpx |
Poids |
281.8 kio |
Date |
25 mars 2021 |
Fichier |
n1200037_jpeg_1_1dm-2.jpg |
Le locotracteur diesel Moyse au bord du canal de Saint-Denis.
N° 1030453 - jpg
- 1688 × 791 pixels
Détails
Crédits |
Collection Raymond Le Moing © CFI |
Dimensions |
1688 × 791 pixels |
Résolution |
1.3 Mpx |
Poids |
307.7 kio |
Date |
25 mars 2021 |
Fichier |
008_diesel-3.jpg |
Le Port de la Haie Coq à Aubervilliers face aux usines Saint-Gobain, 1905.
N° 1030454 - jpg
- 2308 × 1473 pixels
Détails
Crédits |
© Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, 49Fi5207 |
Dimensions |
2308 × 1473 pixels |
Résolution |
3.4 Mpx |
Poids |
343.6 kio |
Date |
25 mars 2021 |
Fichier |
17856cp-3.jpg |
Le raccordement du CFI provenant de la gare de marchandise SNCF (au fond) longe l’ancienne usine (…)
N° 1030643 - jpg
- 597 × 884 pixels
Détails
Crédits |
Collection Raymond Le Moing © CFI |
Dimensions |
597 × 884 pixels |
Résolution |
0.5 Mpx |
Poids |
362.6 kio |
Date |
29 mars 2021 |
Fichier |
img015a_vgn.jpg |
A : immeuble de logements dit "le Château"
B : immeuble de logements
C : immeuble de logements (…)
N° 1030947 - jpg
- 672 × 609 pixels
Détails
Crédits |
© Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
672 × 609 pixels |
Résolution |
0.4 Mpx |
Poids |
51.5 kio |
Date |
6 mai 2021 |
Fichier |
implantation.jpg |