Depuis le début des années 1970, le collège Gabriel Péri est installé dans une école primaire construite entre 1952 et 1963, représentative de l’architecture scolaire de son époque. Des bâtiments linéaires et séparés abritant les différentes fonctions, accueil, enseignement, administration, logement… L’école n’était plus refermée sur elle-même mais ouverte sur le quartier. La transformation en CES? puis en collège n’a pas nécessité de modifications notables sur les façades, seulement des aménagements intérieurs.
1953-1955 : construction
Programme? du groupe scolaire d’origine
A son ouverture en 1954, le groupe scolaire reçoit entre 1 520 et 1 550 élèves dans les classes élémentaires. La maternelle et le jardin d’enfants restent dans l’école du Montfort, située en face. Il comporte 38 classes dont une salle de dessin pour les garçons et une salle d’enseignement ménager pour les filles. Dans un édifice séparé sont installés la cuisine et les réfectoires. Les préaux sont construits l’année de l’ouverture de l’école.
La première rentrée scolaire eut lieu en 1954 et l’inauguration le 23 janvier 1955, en présence du maire communiste Émile Dubois et du député du secteur Jacques Duclos, également l’un des principaux dirigeant du Parti communiste. Cette double présence illustre l’importance de l’enseignement pour les municipalités de la banlieue rouge.
Le collège dans le quartier
Le quartier du Montfort, au nord de la commune, en lisière de La Courneuve, s’est urbanisé tardivement, dans les années 1920-1930 par le biais de lotissements et après-guerre par de vastes opérations de logement social ou de RHI, Résorption de l’habitat insalubre (Maladrerie).
Une première école, bâtie à l’angle des rues Hélène-Cochennec et Elisée-Reclus, par Roland Boudier en 1934-1935, et agrandie par des bâtiments en bois, était au sortir de la guerre à la fois vétuste et trop petite. Les terrains pour la reconstruction du Groupe « Montfort » sont achetés à partir de 1946 le long du boulevard Edouard-Vaillant et de la rue Hélène-Cochennec, en face de la première école. Cette dernière abritera, dans les bâtiments de brique, l’école maternelle et le jardin d’enfants. Les difficultés pour l’acquisition des terrains ayant retardé les travaux, Roland Boudier n’établit les plans du groupe scolaire, rapidement baptisé Gabriel Péri, qu’en 1952.
Parti architectural? et urbain du groupe scolaire
L’école est construite à un moment charnière de l’architecture scolaire, lorsque les programmes suivent encore les modèles d’avant-guerre mais que l’augmentation rapide des effectifs (baby-boom) oblige à construire plus vite et en plus grand nombre. Avant la normalisation et la préfabrication systématique imposée par le Ministère en 1962, la rationalisation? est déjà de mise, dans les plans comme dans les systèmes constructifs. La lutte contre la tuberculose, fléau national, incite à construire des bâtiments linéaires, avec des classes au sud et des couloirs au nord. D’où des séries de barres parallèles. Les différentes fonctions (accueil, enseignement, administration, logement, …) sont abritées dans des édifices distincts. Dorénavant, les établissements ne sont plus refermés sur eux même, avec des bâtiments implantés sur le pourtour du terrain à l’alignement de la rue, mais sont ouverts sur le quartier. Le groupe scolaire Gabriel Péri est réalisé selon ces principes.
Composition architecturale et organisation des espaces
Le premier projet comporte 4 édifices, dont 3 parallèles, orientés sud-nord. Le quatrième, abritant deux logements, est implanté à l’écart, sur la lisière est. Ils sont tous constitués d’une structure? en béton armé? avec un remplissage de brique ou de parpaing, revêtu de panneaux de mignonnette. Les éléments de modénature? sont en béton, les toitures en terrasse? avec un léger débord.
A l’avant, le bâtiment d’accueil, avec son avant-corps arrondi, est à un niveau. Il est bordé de part et d’autre par les porches d’accès. L’ensemble est modeste, 28 m de long, et marque très peu l’entrée.
A l’arrière d’une vaste cour (environ 50x112 m), alors séparée au milieu par des rangées perpendiculaires de WC, s’élève le bâtiment des classes, long de 120 m, large de 11 m et haut de 3 niveaux. Malgré le long développé des façades sud et nord, le dessin est rigoureusement répétitif : 14 travées de 8 m (d’axe en axe) marquées par des poteaux de béton saillants. Ces travées sont composées de bandeaux de 4 baies?, séparées par des potelets en béton, formant un jeu de stries horizontales avec les parties pleines en mignonnette. La répétition de ces travées identiques, formant un quadrillage orthogonal, est audacieuse, mais au final cette juxtaposition crée une réelle dynamique. A chaque extrémité, les cages d’escalier sont éclairées en pignon? par une baie verticale, sur toute la hauteur, à l’époque en pavés de verre. Côté nord, 2 escaliers centraux forment une avancée sur la façade. Le rez-de-chaussée? était occupé, au centre par l’administration, les services médicaux, et de part et d’autre, de 2 préaux et 2 salles de classe. Les étages comportaient chacun 14 classes, d’une superficie moyenne de 56,20 m². Les murs des classes étaient également vitrés côté couloir.
A l’arrière, séparé par un jardin, s’élève le bâtiment des « services généraux ». A un niveau, il comprenait les réfectoires et les cuisines. Ses façades reprennent le même dessin répétitif mais interrompu toutes les deux travées par une porte. Une variante non réalisée proposait un étage supplémentaire abritant une salle de conférence et de cinéma et 2 salles de classe.
A l’intérieur, les parties communes sont décorées de céramique?, pour la plupart en bon état de conservation. Les sols et les parties basses des murs des halls sont en carreaux cassés, appelés mosaïque de hasard par Roland Boudier, dans des tons de gris, beige et jaune. On retrouve les carreaux cassés en partie basse des murs des escaliers et sur les sols des couloirs. Dans ces derniers les allèges? sont revêtues de carreaux blancs. Les sols des classes sont en terrazolith? teinté en rouge sombre. Ces matériaux, appréciés à l’époque à la fois pour leur solidité, leur facilité d’entretien (hygiène) et leurs qualités décoratives, ont largement tenu leurs promesses.
1955-1963 : agrandissements
Dès 1954, la décision de bâtir 800 nouveaux logements HLM dans le quartier (cité Émile Dubois) par le Ministère de la Reconstruction et du logement, entraîne la construction d’un nouveau groupe scolaire (Joliot-Curie) et la nécessité d’agrandir Gabriel Péri. Au cours du chantier, des modifications sont intervenues : la suppression des préaux au rez-de-chaussée du bâtiment principal pour créer 8 nouvelles classes. La rentrée s’effectue donc sans abri couvert. Mais, dès 1955, 2 préaux sont construits de part et d’autre du bâtiment d’accueil, dont ils reprennent les matériaux. Leur hauteur est faible pour ne pas masquer le bâtiment principal, et afin d’éviter de fermer la composition d’ensemble, ils sont entièrement ouverts sur la cour et percés par des porches et une longue baie filante, côté rue. Les parties maçonnées sont revêtues de mignonnette avec un quadrillage de joints creux, les modénatures sont en ciment. Chacun est couvert par une dalle en béton.
Entre 1961 et 1963, 2 bâtiments de 4 classes chacun sont construits à l’avant du terrain, le long de la rue, parallèlement aux préaux. A un seul niveau, ils reposent sur une ossature? en béton armé, sur un rythme de 8,75 m d’axe en axe. Les plans sont les mêmes, classes au sud desservies par un couloir au nord, cependant, choix ou nécessité, Roland Boudier, propose un décor différent. Les façades se décomposent en trois parties à peu près égales, un soubassement? en ciment, une bande continue de châssis? vitrés au milieu et une partie supérieure revêtue de carreaux de grès cérame blancs de 5 x 5 cm. Manifestement placés le long de la rue pour conserver la superficie des cours, ils se trouvent éloignés du bâtiment principal. Bas, sans doute également pour ne pas fermer la composition, avec une architecture appauvrie par rapport aux premiers édifices, ils ne structurent pas l’ensemble.
A la même époque, un bâtiment abritant 2 ateliers est construit à l’arrière, sur le côté ouest de la parcelle, dans le prolongement du bâtiment des « services généraux ». La chaufferie est implantée côté est. Il est intéressant de constater que cette dernière a fait l’objet d’une architecture plus soignée que le bâtiment d’atelier, simple boîte utilitaire.
Des projets de gymnase, sur la partie ouest du terrain, en bordure de la rue Hélène-Cochennec, sont abandonnés. A la place, Roland Boudier construit la maternelle Pierre-Brossolette, entre 1957 et 1962. Le groupe scolaire bénéficie du terrain de sport, situé au cœur de l’îlot.
En 1963, l’essentiel de la composition est en place et bougera peu. En recul par rapport à la rue, l’école bénéficie d’un espace tampon, à l’origine planté en pelouse, qui permettait une perspective sur l’ensemble. Les cours et abords sont pourvus de belles plantations : des alignements de platanes sur le pourtour des cours et sur la bordure Est. A l’arrière, notamment entre les bâtiments des classes et des services généraux, sont plantés des bosquets d’espèces variées.
Cette opération montre une réelle capacité à se renouveler chez Roland Boudier, déjà architecte dans l’Entre-deux-guerres, du groupe scolaire Paul-Doumer, aujourd’hui collège Diderot, manifeste de l’architecture scolaire de l’époque, et des écoles Francine-Fromont et du Montfort, dans lesquelles il a su allier influence régionaliste et emprunts modernistes. Pour Gabriel Péri, il s’adapte aux nouvelles directives et à de nouveaux matériaux. Les premiers bâtiments ont leur élégance propre, mais la composition générale, en raison de gabarits très différents, est quelque peu déséquilibrée. Le choix d’un édifice d’accueil de petite taille signale insuffisamment l’ensemble depuis la rue. De plus, les deux bâtiments de classes, implantés le long de la rue en 1963, ont supprimé la transparence voulue par Boudier dans son premier projet. Ce déséquilibre est renforcé aujourd’hui par un doublement des grilles qui éloigne l’entrée et par de belles plantations sur la largeur du trottoir mais qui masquent encore plus les bâtiments. Cependant la qualité de la construction et la souplesse du plan? font que depuis 1963, le groupe scolaire a tenu le cap et a pu être adapté aux évolutions pédagogiques.
1971-1987 : transformation du CEG? en CES Gabriel Péri
En 1971, le groupe scolaire qui comprenait aussi des classes de CEG, est transformé en CES de 1 200 places, les enfants des classes primaires étant accueillis dans les écoles du quartier : Jolliot-Curie et Robespierre, également conçues par Roland Boudier. Les adaptations nécessaires sont confiées à l’architecte Jacques Boudier qui succède à son père. Les bâtiments ne bougent pas, les transformations ne concernent que la restructuration des espaces intérieurs. Un projet de 2 ailes perpendiculaires reliant l’édifice principal et celui des services généraux, est abandonné.
Les travaux d’aménagement et de mise en conformité sont lancés en 1980, alors que l’établissement est transformé en CES 900 avec SES 96 (Section d’Enseignement Spécialisé). La restructuration est guidée par le souci de regrouper les salles par type d’enseignement et de favoriser les relations entre direction et professeurs, ainsi qu’entre ces derniers et les élèves. Ainsi, les locaux administratifs et socio-éducatifs sont placés au rez-de-chaussée du bâtiment principal, tandis que les salles de sciences (sciences naturelles, physique, technologie) sont regroupées au deuxième étage. Une partie du rez-de-chaussée de l’aile ouest-est accueille le CDI, où il se trouve toujours. Les classes d’enseignement pratique sont aménagées dans le bâtiment d’ateliers et dans l’édifice sur rue, côté maternelle. Coté est, sont installées les salles de musique et de dessin. Dans le bâtiment des services généraux un self-service et la cuisine prennent place dans la partie ouest tandis que l’autre accueille la salle d’éducation physique. Les travaux sont réalisés par tranches de façon à ne pas interrompre le fonctionnement de l’établissement. Ils concernent aussi l’isolation? des murs extérieurs, la réfection des sanitaires (ceux de la cour sont supprimés) et la mise en conformité des installations techniques et de la réglementation personnes à mobilité réduite (création d’un ascenseur).
1987-2013 : aménagements et rénovation
En 1989, le bâtiment d’ateliers est agrandi par une extension de 51 m², aux murs bardés d’aluminium. En 1993, 2 bâtiments préfabriqués à usage de classes de technologie sont implantés à l’arrière entre les services généraux et la chaufferie. D’une surface totale de 180 m², ils abritent 2 classes chacun. Ils sont constitués de panneaux d’aluminium de couleur blanc cassé. Le bâtiment principal a été ravalé au cours de l’été 2011 et les façades mises en couleur : vert pâle pour les poteaux, les bandeaux et les débordements du toit, et rouge brique pour les potelets de séparation des baies. Le ravalement des façades des autres édifices est programmé pour l’été 2012 ainsi que le remplacement des sanitaires.
Le collège dans son environnement aujourd’hui
Le quartier présente un paysage contrasté composé de rues pavillonnaires datant de la première moitié du XXe siècle et de logements sociaux bâtis à partir de 1946 (Cité du Pont-Blanc, Roland Boudier) et jusqu’à une époque récente, certains d’une grande qualité architecturale. Le collège est implanté le long du boulevard Edouard-Vaillant et de la rue Hélène-Cochennec, bâties de pavillons et d’immeubles de l’Entre-deux-guerres. L’établissement, et le stade à l’arrière, sont aujourd’hui enserrés entre des immeubles HLM, formant un long déroulé de barres de cinq étages (cité Gabriel Péri, 520 logements, Boudier, Lopez et Holley) et de tours de 10 étages. Il disparaît aujourd’hui, à la belle saison, sous la végétation. A la fois celle de l’espace public et les arbres de la cour et des pourtours à l’intérieur de l’enceinte. Les platanes de la cour, cinquantenaires, offrent une ombre salutaire aux grandes fenêtres du bâtiment principal, plein sud. Pratiquement inchangé depuis sa construction, en bon état, le collège Gabriel Péri représente un exemple intéressant de l’architecture scolaire de l’après guerre. Il a compté parmi ses élèves deux personnalités d’Aubervilliers, l’actuel maire, Jacques Salvatore et l’écrivain Didier Daeninckx.
L’œuvre du 1% artistique? du collège
Informations mises en ligne prochainement.
Code Inspection académique
0931185H
Programme
Programme d'origine
Groupe scolaire
Chronologie
- 1953-1955 : construction du groupe scolaire
- 1955-1963 : agrandissements
- 1971-1987 : transformation du CEG? en CES? Gabriel-Péri
- 1987-2013 : aménagements et rénovation
Les acteurs de la construction
1987-2013
- Maître d’ouvrage : Département de la Seine-Saint-Denis
1971-1987
- Maître d’ouvrage : Ville d’Aubervilliers
- Architecte : Jacques Boudier
1955-1963
- Maître d’ouvrage : Ville d’Aubervilliers
- Architecte : Roland Boudier
1952-1954
- Maître d’ouvrage : Ville d’Aubervilliers
- Architecte : Roland Boudier
Illustrations
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- 600 × 349 pixels
Détails
Crédits |
Attribué à Roland Boudier Archives municipales d’Aubervilliers |
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600 × 349 pixels |
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9.8 kio |
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- 600 × 332 pixels
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Crédits |
Inconnu Archives municipales d’Aubervilliers |
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Crédits |
Inconnu Archives municipales d’Aubervilliers |
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Crédits |
Photo Marie-Françoise Laborde © Département de la Seine-Saint-Denis |
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- 600 × 450 pixels
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Crédits |
Photo Marie-Françoise Laborde © Département de la Seine-Saint-Denis - Caue 93 |
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Photo Marie-Françoise Laborde © Département de la Seine-Saint-Denis - Caue 93 |
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Photo Marie-Françoise Laborde © Département de la Seine-Saint-Denis - Caue 93 |
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Photo Marie-Françoise Laborde © Département de la Seine-Saint-Denis - Caue 93 |
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© Caue 93 |
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© Caue 93 |
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Roland Boudier © Archives municipales d’Aubervilliers |
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600 × 202 pixels |
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24.5 kio |
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30 novembre 1999 |
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Roland Boudier © Archives municipales d’Aubervilliers |
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17.5 kio |
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30 novembre 1999 |
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Roland Boudier © Archives municipales d’Aubervilliers |
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600 × 121 pixels |
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15.6 kio |
Date |
30 novembre 1999 |
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Crédits |
Roland Boudier © Archives municipales d’Aubervilliers |
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600 × 246 pixels |
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22.9 kio |
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30 novembre 1999 |
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Roland Boudier © Archives municipales d’Aubervilliers |
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562 × 600 pixels |
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62.7 kio |
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30 novembre 1999 |
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Crédits |
Inconnu © Archives municipales d’Aubervilliers |
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30 novembre 1999 |
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Inconnu © Archives municipales d’Aubervilliers |
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31.6 kio |
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30 novembre 1999 |
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Crédits |
Inconnu © Archives municipales d’Aubervilliers |
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53.2 kio |
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30 novembre 1999 |
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Inconnu © Archives municipales d’Aubervilliers |
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491 × 600 pixels |
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45.2 kio |
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30 novembre 1999 |
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Crédits |
Inconnu © Archives municipales d’Aubervilliers |
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24.4 kio |
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Marie-Françoise Laborde © Département de la Seine-Saint-Denis - Caue 93 |
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30 novembre 1999 |
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Marie-Françoise Laborde © Département de la Seine-Saint-Denis - Caue 93 |
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67.6 kio |
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30 novembre 1999 |
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Crédits |
Marie-Françoise Laborde © Département de la Seine-Saint-Denis - Caue 93 |
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70.2 kio |
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30 novembre 1999 |
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Marie-Françoise Laborde © Département de la Seine-Saint-Denis - Caue 93 |
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Marie-Françoise Laborde © Département de la Seine-Saint-Denis - Caue 93 |
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Marie-Françoise Laborde © Département de la Seine-Saint-Denis - Caue 93 |
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Marie-Françoise Laborde © Département de la Seine-Saint-Denis - Caue 93 |
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Principale A .David |
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59.4 kio |
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Principale A. David |
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48.7 kio |
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Marie-Françoise Laborde © Département de la Seine-Saint-Denis - Caue 93 |
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Marie-Françoise Laborde © Département de la Seine-Saint-Denis - Caue 93 |
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Marie-Françoise Laborde © Département de la Seine-Saint-Denis - Caue 93 |
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30 novembre 1999 |
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Marie-Françoise Laborde © Département de la Seine-Saint-Denis - Caue 93 |
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Marie-Françoise Laborde © Département de la Seine-Saint-Denis - Caue 93 |
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55.2 kio |
Date |
30 novembre 1999 |
Fichier |
gpam30_pleinecran.jpg |
N° 28822 - jpg
- 600 × 450 pixels
Détails
Crédits |
Marie-Françoise Laborde © Département de la Seine-Saint-Denis - Caue 93 |
Dimensions |
600 × 450 pixels |
Résolution |
0.3 Mpx |
Poids |
35 kio |
Date |
30 novembre 1999 |
Fichier |
gpam32_pleinecran.jpg |
N° 28823 - jpg
- 600 × 450 pixels
Détails
Crédits |
Marie-Françoise Laborde © Département de la Seine-Saint-Denis - Caue 93 |
Dimensions |
600 × 450 pixels |
Résolution |
0.3 Mpx |
Poids |
53.8 kio |
Date |
30 novembre 1999 |
Fichier |
gpam33_pleinecran.jpg |
N° 28824 - jpg
- 450 × 600 pixels
Détails
Crédits |
Marie-Françoise Laborde © Département de la Seine-Saint-Denis - Caue 93 |
Dimensions |
450 × 600 pixels |
Résolution |
0.3 Mpx |
Poids |
57.8 kio |
Date |
30 novembre 1999 |
Fichier |
gpam34_pleinecran.jpg |
N° 28825 - jpg
- 450 × 600 pixels
Détails
Crédits |
Marie-Françoise Laborde © Département de la Seine-Saint-Denis - Caue 93 |
Dimensions |
450 × 600 pixels |
Résolution |
0.3 Mpx |
Poids |
63.5 kio |
Date |
30 novembre 1999 |
Fichier |
gpam35_pleinecran.jpg |
N° 28826 - jpg
- 450 × 600 pixels
Détails
Crédits |
Marie-Françoise Laborde © Département de la Seine-Saint-Denis - Caue 93 |
Dimensions |
450 × 600 pixels |
Résolution |
0.3 Mpx |
Poids |
37.8 kio |
Date |
30 novembre 1999 |
Fichier |
gpam36_pleinecran.jpg |
N° 28828 - jpg
- 450 × 600 pixels
Détails
Crédits |
Principale A. David |
Dimensions |
450 × 600 pixels |
Résolution |
0.3 Mpx |
Poids |
79.3 kio |
Date |
30 novembre 1999 |
Fichier |
gpam38_pleinecran.jpg |
N° 28829 - jpg
- 600 × 450 pixels
Détails
Crédits |
Principale A. David |
Dimensions |
600 × 450 pixels |
Résolution |
0.3 Mpx |
Poids |
57 kio |
Date |
30 novembre 1999 |
Fichier |
gpam39_pleinecran.jpg |
N° 28830 - jpg
- 450 × 600 pixels
Détails
Crédits |
Principale A. David |
Dimensions |
450 × 600 pixels |
Résolution |
0.3 Mpx |
Poids |
80.8 kio |
Date |
30 novembre 1999 |
Fichier |
gpam40_pleinecran.jpg |
N° 28831 - jpg
- 600 × 451 pixels
Détails
Crédits |
Inconnu © Archives municipales d’Aubervilliers |
Dimensions |
600 × 451 pixels |
Résolution |
0.3 Mpx |
Poids |
35.7 kio |
Date |
30 novembre 1999 |
Fichier |
gpam41_pleinecran.jpg |
N° 28832 - jpg
- 600 × 450 pixels
Détails
Crédits |
Marie-Françoise Laborde © Département de la Seine-Saint-Denis - Caue 93 |
Dimensions |
600 × 450 pixels |
Résolution |
0.3 Mpx |
Poids |
45.2 kio |
Date |
30 novembre 1999 |
Fichier |
gpam42_pleinecran.jpg |
N° 28833 - jpg
- 600 × 450 pixels
Détails
Crédits |
Marie-Françoise Laborde © Département de la Seine-Saint-Denis - Caue 93 |
Dimensions |
600 × 450 pixels |
Résolution |
0.3 Mpx |
Poids |
43.2 kio |
Date |
30 novembre 1999 |
Fichier |
gpam43_pleinecran.jpg |
N° 28835 - jpg
- 436 × 600 pixels
Détails
Crédits |
© Caue 93 |
Dimensions |
436 × 600 pixels |
Résolution |
0.3 Mpx |
Poids |
25.5 kio |
Date |
30 novembre 1999 |
Fichier |
gpam45_pleinecran.jpg |