En 1865, la société L.T. Piver acquiert 2 889 m² de terrains à Aubervilliers, route de Flandre, en vue d’y transférer son usine de savons de toilette située à La Villette. Initialement créé pour se soustraire au paiement de l’octroi de Paris, ce nouvel établissement offre également l’opportunité à l’entreprise de développer son activité en y installant les machines imaginées par Alphonse-Honoré-Piver (séchoir automatique, machine à modeler les savons). Mise en service en 1869, l’usine comprend un atelier de saponification, une distillerie de matière odorante, une verrerie, un atelier de pliage, un laboratoire, et divers remises, dépôts et bureaux. L’ensemble est alimenté par un couple générateur à vapeur-moteur de 50 CV dont les fumées sont évacuées par une haute cheminée en briques (disparu).
Vitrine de la réussite de l’entreprise, l’ensemble est pensé dans un parfait esprit de composition et d’équilibre. Les bâtiments, petites halles et pavillons, se répartissent symétriquement autour d’une avant-cour et d’une cour séparées l’une de l’autre par des portails monumentaux. Leurs architectures se montrent particulièrement soignées, marquées par une ornementation caractéristique des grandes manufactures. Les élévations en moellons de calcaire sont recouvertes d’enduit formant refends dans l’encadrement? des ouvertures, des angles et en séparations des travées. Les deux pavillons d’entrée (disparu) étaient couronnés de fronton portant l’inscription PIVER. Le portail central comprenait une niche à cadran horaire inscrit dans la perspective de l’entrée (disparu). Regroupés à l’arrière, les ateliers sont coiffés d’une toiture à deux pans couverte de tuiles et verrières. Un apport supplémentaire d’éclairage naturel est obtenu en façade par des baies? en arcs segmentaires. Usine-écrin, mais aussi usine-moderne, l’établissement L.T. Piver d’Aubervilliers produisait en 1878, 8 000 pains de savons par jour pour un effectif approximatif de 100 personnes.
De cette première manufacture ne subsistent qu’une porte d’entrée sur l’avenue, et deux corps de bâtiments regroupant, d’un côté, la distillerie (1a) et les générateurs (1b), puis, de l’autre, la verrerie (2a) et le laboratoire (2b).
Le développement de l’extraction des matières odorantes par les solvants volatils (sulfure de carbone, benzine, éthanol...), puis la création des odeurs de synthèse à la fin du XIXe siècle, stimulent l’ensemble du secteur de la parfumerie. Tout en conservant son usine de fabrication de matière première naturelle à Grasse, la Maison Piver étend son établissement d’Aubervilliers afin de perfectionner et accroître son activité. En 1885, une nouvelle distillerie est ouverte sur la rue de la Motte (disparue). Entre 1907 et 1912, l’usine est étendue de 5 000m² pour permettre la construction d’un atelier des essences, d’un dépôt annexé d’une verrerie, d’un bâtiment de logement et bureaux et d’une écurie. Le projet est confié à l’architecte parisien Georges Roussi qui conduit en parallèle le chantier de l’École nationale d’arts et métiers de Paris. Architecte académique, Geroges Roussi recourt au vocabulaire plus usuel de l’architecture industrielle pour l’usine L.T. Piver. L’atelier des essences (3) est composé d’une halle à double nef à structure? métallique hourdie de briques. Les façades sont parcourues d’une haute baie vitrée, percée d’ouvrants basculants. Un système indispensable pour éclairer les tables de travail où sont principalement effectuées des tâches manuelles (enflaconnage des lotions, conditionnement), et aérer un espace envahit d’effluves d’alcool. Le magasin, également élevé en structure métallique hourdie de briques, est couvert d’une toiture en sheds? (disparu). Édifice plus modeste, l’écurie (4) se distingue par sa lucarne pendante à foin, ouverture traditionnelle pour ce type de construction. Hormis les bureaux, qui s’inscrivent dans une continuité physique et stylistique des premiers pavillons, tous les bâtiments présentent un même appareillage? ornemental de briques animant les façades. La brique ocre, provenant principalement des briqueteries de Gournay (94) et d’Henri ? (77), est associée à la brique rouge pour former des frises, bandeaux, encadrements et autre décors géométriques. Ces motifs et associations de briques seront appliquées aux réalisations ultérieures pour constituer ensemble l’identité matérielle et décorative du site. Moins visible, et pourtant essentielle à la nouvelle organisation de l’usine, une cave aux essences est aménagée sous la cour séparant l’atelier des alcools du magasin. C’est là que sont stockées les cuves des essences en cours de macération avant leur assemblage pour créer les parfums. Une matière précieuse et inflammable que l’on préserve en l’enfouissant sous terre.
Au lendemain de la Première guerre mondiale, la Maison Piver met plus que jamais en pratique son slogan « L.T. Piver, parfume le monde entier ! ». Rendre accessible au plus grand nombre les produits de parfumerie et renforcer encore ses exportations, deux axes d’une stratégie de massification qui aboutissent à une restructuration du site d’Aubervilliers. Entre 1919 et 1925, l’usine est étendue de 7 000 m² en intégrant des terrains de part et d’autre du site d’origine. Un nouvel espace de 4 900 m² est également investi, plus au nord, au 161 de l’avenue Jean-Jaurès. Avec les ateliers de la rue de la Motte, l’établissement L.T. d’Aubervilliers couvre désormais plus de deux hectares répartis sur trois emprises. L’entreprise y installe tous les services nécessaires au fonctionnement autarcique d’une usine de parfumerie : stockage des matières premières, distillerie, laboratoires et ateliers des matières de synthèse, ateliers de fabrications des savons de toilette, poudres de riz, pommades, fards, dentifrices, brillantines, eau de toilette et lotions, ateliers de cartonnage et de verrerie, de conditionnement et d’enflaconnage, magasins des produits finis et d’expéditions, ateliers d’entretien, de menuiserie et de mécanique, garage pour camions de livraison, bureaux, réfectoire, vestiaires, blanchisserie et infirmerie. L’ensemble est raccordé au réseau électrique de secteur et dispose de son propre transformateur.
Si quelques bâtiments conservent leurs fonctions d’origine, tel l’atelier d’enflaconnage, la cave aux essences, et la distillerie, l’essentiel prend place dans de nouvelles constructions. Georges Roussi qui coordonne le projet aux côtés de son gendre, l’architecte Jacques Bonnier, abandonne le modèle de la halle industrielle pour des bâtiments à trois niveaux et toit terrasse?. Une typologie? usinière largement répandue, y compris dans le secteur de la parfumerie, qui répond ici autant à un besoin de surfaces qu’à une recherche de rationalisation? de la chaîne de production. Il ne s’agît toutefois pas autant d’optimiser l’organisation verticale du process que de faciliter la circulation horizontale des produits en raccordant, par des passerelles à double niveaux, les ateliers de fabrication au magasin central qui regroupe les étapes de conditionnement et d’expéditions.
Ce vaste chantier est conduit en trois grandes campagnes de travaux s’échelonnant de 1920 à 1928 et présentant chacune ses spécificités constructives et stylistiques.
Une première série de bâtiments est édifiée entre 1919 et 1920 au nord des terrains : ateliers de verrerie et d’emballage (5), atelier des poudres de riz et leur conditionnement (6), bâtiment administratif (7) et transformateur (8). Malgré des fonctions très diverses, ces bâtiments présentent une physionomie très proche. Les fondations et sous-bassement sont en pierre de meulière et les niveaux supérieurs en maçonnerie de briques. Des colonnes de fonte et piliers d’aciers soutiennent les planchers résistants à des charges entre 700 et 1000 kg / m², nécessaires pour supporter le poids d’un matériel lourd. En façade l’ornementation reste très soignée, marquée par des jeux de briques ocres et rouges, et des décors de ciment blanc : consoles, corniche?, linteaux. Bâtiment vitrine, exposant aux regards de tous l’importance de l’usine, les bureaux ont bénéficié d’un traitement décoratif plus conséquent. L’appareillage de briques ornemental se complexifie. Un bandeau de briques posées de champ et en sailli ceinture l’édifice au niveau du rez-de-chaussée?. Une large frise marque sa partie haute, tout en soulignant les doubles consoles des pilastres. Le prolongement des pilastres au-dessus de la corniche de ciment blanc forme un crénelage en couronnement? du bâtiment qui contribue à sa monumentalité. Un effet initialement accentué par la présence de deux frontons portant l’inscription PIVER (disparus)
Une seconde série de bâtiments est édifiée entre 1924 et 1927. Atelier de cartonnage (9), puis des fards et pommades (10), sont construits dans les espaces interstitiels situés entre les précédents ateliers. Leurs gabarits sont alignés pour former un front bâti continue et homogène en partie nord. En revanche leur système constructif diffère. Le béton armé? s’est substitué aux maçonneries de briques et piliers d’acier. A résistance égale, voire supérieure, le matériau autorise de plus grande portée et donc une optimisation des aménagements. Le béton armé présente également des propriétés plastiques qui permettent l’adoption de nouveaux décors s’ajoutant aux motifs de briques.
Entre 1925 et 1928, une troisième tranche de travaux est engagée afin d’achever le programme? d’agrandissement et de modernisation de l’usine. Au centre, un nouveau magasin élevé sur trois niveaux, entièrement en béton armé (11) regroupe de haut en bas, le stockage des emballages, celui des produits manufacturés, puis les services d’expéditions . La circulation des produits s’organise ici verticalement à l’aide d’un système de montes-charges. Pour apporter un éclairement suffisant sur chacun des niveaux de cet épais parallélépipède de 47 x 45 mètres de côté, les quatre façades sont percées de bandeaux vitrés reposant sur des allèges? de béton. Au centre du toit terrasse une coupole de six mètres de diamètre recouverte de pavés de verres ronds irradie d’une lumière naturelle le cœur du second étage. Pièce maîtresse de la nouvelle organisation, le magasin est raccordé par un système de passerelles à chaque atelier, au bâtiment administratif ainsi qu’à la nouvelle savonnerie (12).
Mis en service en 1928, cet atelier se distingue des autres par son fonctionnalisme?. Ici pas d’architecture ornementale mais une construction répondant aux contraintes de charge imposée par la massivité des cuves de saponification, des machines à broyer, à sécher et à mettre en forme. L’épaisseur de la structure, celle des planchers de 80 cm supportant de 1000 à 3000 kg/m², est laissée apparente en façade. La brique ocre de remplissage est essentiellement utilisée pour former les allèges des baies vitrées qui parcourent tous les niveaux.
A la même période L.T. Piver engage un autre programme de construction sur des terrains situés au 161 de l’avenue Jean-Jaurès, et acquis dans les années 1910. Annexe du site principal, séparée par une autre propriété, cet espace regroupe des fonctions secondaires de stockage et maintenance : écuries (13), dépôts de matières premières (14), garages (15), menuiserie (16)... Appentis et halles constituent l’essentiel des constructions. L’atelier de menuiserie se distingue par sa forme de pavillon?, orné d’un appareillage ornemental de briques similaires à l’usine. L’identité architecturale de la maison Piver mise en œuvre par l’architecte Georges Roussi, se retrouve ici.
En 1928, l’entreprise semble avoir atteint ses objectifs de croissance de productivité. Alors qu’au début du XXe siècle, l’établissement d’Aubervilliers n’employait que 300 salariés pour une production quotidienne de 12 000 savons, elle en emploie désormais 1500 pour une production de 50 000 savons. La mécanisation de certaines tâches et l’adoption du taylorisme conduisent à une production quotidienne de dix tonnes de poudres de riz, conditionnées à la fréquence de 30 sacs par minute. Un seul ouvrier réalise six millions de litres de lotions parfumés par an. Chaque heure, 2 400 litres sortent des ateliers d’enflaconnage. Une machine à étiqueter réalise en une journée autant que 14 ouvriers. Des chemins roulants, norias à mouvement continu, ascenseurs, toboggans, transporteurs à rouleaux, réseau ferré à palans, assurent la manutention et le déplacement des produits au sein des ateliers. En tout, ce sont 1200 produits divers qui sortent des ateliers chaque minute.
Véritable usine-ville, le site est quadrillé d’un réseau de voies nommées selon la fonction des bâtiments qu’elles longent : rue des Spiritueux, rue des Poudres, rue Couverte de la Verrerie, rue des Bureaux, rue de la Savonnerie, rue de la Distillerie….
Fortement impactée par la crise économique du début des années 1930, puis fragilisée par les années d’occupation, la parfumerie L.T. Piver entame un déclin progressif à partir des années 1950. Les effectifs de l’usine d’Aubervilliers sont réduits à 450 personnes. Au milieu des années 1960, les activités de cosmétiques sont vendues à Rhône-Poulenc tandis que les ateliers de la rue de la Motte sont cédés à la société américaine Hélène Curtis. En 1974, L.T. Piver quitte Aubervillliers pour Chartes où une nouvelle chaîne de production est ouverte. Racheté, le site est transformé en cité d’activités sous le nom de "Cité Fabien" puis, plus tard, "d’Espace Jean-Jaurès". Le matériel est démantelé, les ateliers divisés en une trentaine de lots.
En 2020, un ambitieux projet de reconversion porté par le propriétaire du site, la Société de la Tour Eiffel, n’aboutit pas. En attendant la définition d’un nouveau programme, l’ancienne usine a été confiée en 2022 à POUSH, lieu d’artistes, pour la création et l’exposition.
SOURCES :
Archives communales d’Aubervilliers :
– Série continue. Installations Classées. 5L
– Permis de construire. Série 2T et W
– Cartes postales. Série 4Fi
Archives départementales de la Seine-Saint-Denis :
– Installations classées. Série W.
Institut Français d’Architecture / Centre d’archives d’architecture du XXe siècle :
– Fonds Georges Roussi. 037 Ifa
Archives de la Société L.T. Piver
– Fonds non classé
POUR EN SAVOIR PLUS : https://patrimoine.seinesaintdenis.fr/L-ancienne-usine-de-parfumerie-L-T-Piver-a-Aubervilliers
Date de construction
1868; 1890; 1907; 1911; 1912; 1919; 1921; 1924; 1928
Organisme
service du patrimoine culturel de la Seine-Saint-Denis
Date de rédaction
2003; 2023
Date de découverte ou d'enquête
1993; 2022
Destination successive
lotissement industriel et commercial
Source
inventaire départemental
Auteur
Georges Roussi (architecte) ; Jacques Bonnier (architectes) ; Charles Sanlaville (archtiecte) ; Edmond Hanier (architecte) ; Pierre Vié (constructeur)
Qualification de datation
campagne(s) de construction
Parties constituantes
bâtiment administratif d'entreprise ; atelier de fabrication ; atelier de conditionnement ; entrepôt industriel ; écurie; garage; magasin industriel;
Illustrations
Vue générale de l’atelier des poudres et fards, du bâtiment administratif et du magasin central.
N° 1034808 - jpg
- 800 × 451 pixels
Détails
Crédits |
Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
800 × 451 pixels |
Résolution |
0.4 Mpx |
Poids |
277.3 kio |
Date |
23 novembre 2023 |
Fichier |
img20220517193318_vgn.jpg |
Emplacement des passages des chaudières à savon dans les sous-sol de la savonnerie.
N° 1034800 - jpg
- 346 × 461 pixels
Détails
Crédits |
Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
346 × 461 pixels |
Résolution |
0.2 Mpx |
Poids |
122.3 kio |
Date |
23 novembre 2023 |
Fichier |
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Détail de la structure? de l’atelier des essences.
N° 1034809 - jpg
- 346 × 461 pixels
Détails
Crédits |
Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
346 × 461 pixels |
Résolution |
0.2 Mpx |
Poids |
154.8 kio |
Date |
23 novembre 2023 |
Fichier |
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Passerelle raccordant l’atelier de cartonnage et caisse (9-à droite) au magasin central (11).
N° 1034812 - jpg
- 346 × 461 pixels
Détails
Crédits |
Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
346 × 461 pixels |
Résolution |
0.2 Mpx |
Poids |
155.6 kio |
Date |
23 novembre 2023 |
Fichier |
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Premier étage de l’atelier des essences, vue intérieure.
N° 1034806 - jpg
- 461 × 346 pixels
Détails
Crédits |
Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
461 × 346 pixels |
Résolution |
0.2 Mpx |
Poids |
155.6 kio |
Date |
23 novembre 2023 |
Fichier |
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Estampille de brique de la briqueterie de Roanne-Briennon, façade du bâtiment administratif
N° 1034807 - jpg
- 346 × 461 pixels
Détails
Crédits |
Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
346 × 461 pixels |
Résolution |
0.2 Mpx |
Poids |
153.4 kio |
Date |
23 novembre 2023 |
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Estampille de brique "HB", briqueterie Henry B ?, sur la façade du bâtiment administratif.
N° 1034805 - jpg
- 461 × 346 pixels
Détails
Crédits |
Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
461 × 346 pixels |
Résolution |
0.2 Mpx |
Poids |
173.1 kio |
Date |
23 novembre 2023 |
Fichier |
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Estampille de brique "GY", atelier des essences, Briqueterie de Gournay (Vitry-sur-Seine, 94)
N° 1034804 - jpg
- 461 × 346 pixels
Détails
Crédits |
Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
461 × 346 pixels |
Résolution |
0.2 Mpx |
Poids |
182.3 kio |
Date |
23 novembre 2023 |
Fichier |
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Passage dans les sous-sol de la savonnerie. Passage vers la cave aux essences.
N° 1034802 - jpg
- 346 × 461 pixels
Détails
Crédits |
Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
346 × 461 pixels |
Résolution |
0.2 Mpx |
Poids |
130.7 kio |
Date |
23 novembre 2023 |
Fichier |
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La distillerie (disparue) était située dans l’annexe de l’usine, rue de la Motte.
Au centre, le (…)
N° 18174 - jpg
- 600 × 385 pixels
Détails
Crédits |
Collection Archives départementales de la Seine-Saint-Denis © Gaston Francq / Droits réservés |
Dimensions |
600 × 385 pixels |
Résolution |
0.2 Mpx |
Poids |
189.7 kio |
Date |
4 décembre 2023 |
Fichier |
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N° 1034801 - jpg
- 461 × 346 pixels
Détails
Crédits |
Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
461 × 346 pixels |
Résolution |
0.2 Mpx |
Poids |
149.6 kio |
Date |
23 novembre 2023 |
Fichier |
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Second niveau du magasin central, vue de la coupole.
Espace utilisé comme lieu d’exposition par (…)
N° 1034810 - jpg
- 400 × 226 pixels
Détails
Crédits |
Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
400 × 226 pixels |
Résolution |
0.1 Mpx |
Poids |
66.1 kio |
Date |
23 novembre 2023 |
Fichier |
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Vue générale de l’usine de parfumerie L.T. Piver en 1869.
N° 1034817 - jpg
- 687 × 500 pixels
Détails
Crédits |
Bertand, graveur, Le Monde Illustré, n°658, 20 novembre 1869, p.333 |
Dimensions |
687 × 500 pixels |
Résolution |
0.3 Mpx |
Poids |
320.5 kio |
Date |
5 décembre 2023 |
Fichier |
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Passerelle reliant l’atelier des essences, à gauche (3), et la verrerie, à droite (5).
N° 1034795 - jpg
- 461 × 346 pixels
Détails
Crédits |
Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
461 × 346 pixels |
Résolution |
0.2 Mpx |
Poids |
160.8 kio |
Date |
23 novembre 2023 |
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Publicité L.T. Priver présentant la gamme de produits de la maison de parfumerie : parfums, (…)
N° 1034818 - jpg
- 503 × 761 pixels
Détails
Crédits |
Collection particulière © Droits réservés |
Dimensions |
503 × 761 pixels |
Résolution |
0.4 Mpx |
Poids |
329.5 kio |
Date |
5 décembre 2023 |
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Entrée de l’usine sur l’avenue Jean-Jaurès.
A droite, ateliers des fards, pommades et crème. (…)
N° 1034816 - jpg
- 835 × 530 pixels
Détails
Crédits |
Archives communales d’Aubervilliers © Cliché Godneff, 4Fi796 |
Dimensions |
835 × 530 pixels |
Résolution |
0.4 Mpx |
Poids |
88.3 kio |
Date |
4 décembre 2023 |
Fichier |
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Bâtiment des laboratoires, verrerie et magasins.
N° 1034797 - jpg
- 461 × 346 pixels
Détails
Crédits |
Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
461 × 346 pixels |
Résolution |
0.2 Mpx |
Poids |
136.9 kio |
Date |
23 novembre 2023 |
Fichier |
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Le bâtiment administratif couronné des deux frontons cintrés (disparus).
N° 1034815 - jpg
- 821 × 528 pixels
Détails
Crédits |
Archives communales d’Aubervilliers © E.M. - F. Testard, 4Fi797 |
Dimensions |
821 × 528 pixels |
Résolution |
0.4 Mpx |
Poids |
85.3 kio |
Date |
4 décembre 2023 |
Fichier |
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Façade du bâtiment administratif depuis la cours ; vue de la passerelle reliant le bâtiment au (…)
N° 1034796 - jpg
- 461 × 346 pixels
Détails
Crédits |
Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
461 × 346 pixels |
Résolution |
0.2 Mpx |
Poids |
160.7 kio |
Date |
23 novembre 2023 |
Fichier |
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Atelier de verrerie et d’emballage, passerelle de raccordement avec l’atelier des essences.
N° 1034799 - jpg
- 461 × 346 pixels
Détails
Crédits |
Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
461 × 346 pixels |
Résolution |
0.2 Mpx |
Poids |
159.8 kio |
Date |
23 novembre 2023 |
Fichier |
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Charpente en bois et métal (tirant, entrait , consoles) du premier atelier de distillation.
N° 1034803 - jpg
- 461 × 346 pixels
Détails
Crédits |
Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
461 × 346 pixels |
Résolution |
0.2 Mpx |
Poids |
134 kio |
Date |
23 novembre 2023 |
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Une des deux portes donnant sur l’avenue Jean-Jaurès, seul vestige préservé de l’entrée initiale (…)
N° 1034811 - jpg
- 346 × 461 pixels
Détails
Crédits |
Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
346 × 461 pixels |
Résolution |
0.2 Mpx |
Poids |
133.3 kio |
Date |
23 novembre 2023 |
Fichier |
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Façade de l’atelier des poudres, détail de appareillages de briques et des ouvertures.
N° 15849 - jpg
- 600 × 450 pixels
Détails
Crédits |
Photo Marie-Françoise Laborde © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
600 × 450 pixels |
Résolution |
0.3 Mpx |
Poids |
219.1 kio |
Date |
30 novembre 1999 |
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15849_pleinecran.jpg |
N° 15858 - jpg
- 600 × 450 pixels
Détails
Crédits |
Photo Marie-Françoise Laborde © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
600 × 450 pixels |
Résolution |
0.3 Mpx |
Poids |
237.5 kio |
Date |
30 novembre 1999 |
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Vue de l’atelier de verrerie depuis la rue de la Motte.
N° 1384 - jpg
- 600 × 439 pixels
Détails
Crédits |
Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
600 × 439 pixels |
Résolution |
0.3 Mpx |
Poids |
48.9 kio |
Date |
15 novembre 2004 |
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Vue de la façade arrière de l’atelier des essences.
N° 1385 - jpg
- 737 × 553 pixels
Détails
Crédits |
Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
737 × 553 pixels |
Résolution |
0.4 Mpx |
Poids |
286 kio |
Date |
15 avril 2023 |
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Entrée de la première usine de parfumerie (disparue).
N° 1387 - jpg
- 600 × 450 pixels
Détails
Crédits |
Archives communales d’Aubervilliers © Gaston Francq, 4Fi223 |
Dimensions |
600 × 450 pixels |
Résolution |
0.3 Mpx |
Poids |
72.9 kio |
Date |
15 novembre 2004 |
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Plan? d’ensemble de l’extension de l’usine de parfumerie ; Georges Roussi architecte ; juillet 1907
N° 1601 - jpg
- 600 × 407 pixels
Détails
Crédits |
Photo Antoine Furio © Archives communales d’Aubervilliers, 2T428 |
Dimensions |
600 × 407 pixels |
Résolution |
0.2 Mpx |
Poids |
49.8 kio |
Date |
2 mai 2006 |
Fichier |
1601_pleinecran.jpg |
Bâtiment administratif de l’ancienne parfumerie Piver vue depuis l’avenue Jean Jaurès.
A droite (…)
N° 1393 - jpg
- 600 × 450 pixels
Détails
Crédits |
Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
600 × 450 pixels |
Résolution |
0.3 Mpx |
Poids |
47.5 kio |
Date |
15 novembre 2004 |
Fichier |
1393_pleinecran.jpg |
Plan? du pavillon? d’habitation et de bureau de la direction ; Georges Roussi architectes ; (…)
N° 1602 - jpg
- 600 × 431 pixels
Détails
Crédits |
Photo Antoine Furio © Archives communales d’Aubervilliers, 2T428 |
Dimensions |
600 × 431 pixels |
Résolution |
0.3 Mpx |
Poids |
56 kio |
Date |
2 mai 2006 |
Fichier |
1602_pleinecran.jpg |
Pan du second niveau du magasin central ; Georges Roussi architecte ; mars 1924
N° 1608 - jpg
- 403 × 600 pixels
Détails
Crédits |
Photo Antoine Furio © Archives communales d’Aubervilliers, 2T1629 |
Dimensions |
403 × 600 pixels |
Résolution |
0.2 Mpx |
Poids |
37.6 kio |
Date |
2 mai 2006 |
Fichier |
1608_pleinecran.jpg |
Plan? d’ensemble de l’usine de parfumerie et d’installation du magasin central ; Georges Roussi (…)
N° 1612 - jpg
- 457 × 600 pixels
Détails
Crédits |
Photo Antoine Furio © Archives communales d’Aubervilliers, 2T1629 |
Dimensions |
457 × 600 pixels |
Résolution |
0.3 Mpx |
Poids |
52.7 kio |
Date |
3 mai 2006 |
Fichier |
1612_pleinecran.jpg |
Plan? en élévation du magasin central ; Georges Roussi architecte ; mars 1924
N° 1618 - jpg
- 580 × 600 pixels
Détails
Crédits |
Photo Antoine Furio © Archives communales d’Aubervilliers, 2T1629 |
Dimensions |
580 × 600 pixels |
Résolution |
0.3 Mpx |
Poids |
74.1 kio |
Date |
5 décembre 2023 |
Fichier |
1618_pleinecran.jpg |
Plan? du premier étage du magasin central ; Georges Roussi architecte ; mars 1924
N° 1625 - jpg
- 438 × 600 pixels
Détails
Crédits |
Photo Antoine Furio © Archives communales d’Aubervilliers, 2T1629 |
Dimensions |
438 × 600 pixels |
Résolution |
0.3 Mpx |
Poids |
48.8 kio |
Date |
3 mai 2006 |
Fichier |
1625_pleinecran.jpg |
Cours d’emballage et probable expédition (disparue).
N° 18160 - jpg
- 600 × 388 pixels
Détails
Crédits |
Collection Archives départementales de la Seine-Saint-Denis © Gaston Francq / Droits réservés |
Dimensions |
600 × 388 pixels |
Résolution |
0.2 Mpx |
Poids |
196.1 kio |
Date |
17 octobre 2007 |
Fichier |
18160adcp_pleinecran.jpg |
Cours couvrant la cave au essences, entre l’atelier des essences (à gauche) et le magasin (à (…)
N° 18162 - jpg
- 600 × 387 pixels
Détails
Crédits |
Collection Archives départementales de la Seine-Saint-Denis © Gaston Francq / Droits réservés |
Dimensions |
600 × 387 pixels |
Résolution |
0.2 Mpx |
Poids |
193.2 kio |
Date |
17 octobre 2007 |
Fichier |
18162adcp_pleinecran.jpg |
Atelier de saponification, chaudières à savons (disparu)
N° 18164 - jpg
- 600 × 390 pixels
Détails
Crédits |
Collection Archives départementales de la Seine-Saint-Denis © Gaston Francq / Droits réservés |
Dimensions |
600 × 390 pixels |
Résolution |
0.2 Mpx |
Poids |
200.4 kio |
Date |
17 octobre 2007 |
Fichier |
18164adcp_pleinecran.jpg |
Atelier de savonnerie (disparu), ouvrières au conditionnement des savons.
N° 18166 - jpg
- 600 × 382 pixels
Détails
Crédits |
Collection Archives départementales de la Seine-Saint-Denis © Gaston Francq / Droits réservés |
Dimensions |
600 × 382 pixels |
Résolution |
0.2 Mpx |
Poids |
196.7 kio |
Date |
17 octobre 2007 |
Fichier |
18166adcp_pleinecran.jpg |
Intérieur du magasin de stockage, espace des cartons d’emballage (disparu)
N° 18168 - jpg
- 600 × 386 pixels
Détails
Crédits |
Collection Archives départementales de la Seine-Saint-Denis © Gaston Francq / Droits réservés |
Dimensions |
600 × 386 pixels |
Résolution |
0.2 Mpx |
Poids |
200.3 kio |
Date |
17 octobre 2007 |
Fichier |
18168adcp_pleinecran.jpg |
Atelier des essences, activités d’enflaconnage des lotions et eaux de parfum.
N° 18170 - jpg
- 600 × 385 pixels
Détails
Crédits |
Collection Archives départementales de la Seine-Saint-Denis © Gaston Francq / Droits réservés |
Dimensions |
600 × 385 pixels |
Résolution |
0.2 Mpx |
Poids |
200.8 kio |
Date |
17 octobre 2007 |
Fichier |
18170adcp_pleinecran.jpg |
Les laboratoires de recherche étaient initialement regroupés dans les bâtiments de l’usine (2a), (…)
N° 18172 - jpg
- 600 × 385 pixels
Détails
Crédits |
Collection Archives départementales de la Seine-Saint-Denis © Gaston Francq / Droits réservés |
Dimensions |
600 × 385 pixels |
Résolution |
0.2 Mpx |
Poids |
186.6 kio |
Date |
17 octobre 2007 |
Fichier |
18172adcp_pleinecran.jpg |
Aubervilliers, parfumerie Piver : sous-sol.
N° 18176 - jpg
- 600 × 383 pixels
Détails
Crédits |
Collection Archives départementales de la Seine-Saint-Denis © Gaston Francq / Droits réservés |
Dimensions |
600 × 383 pixels |
Résolution |
0.2 Mpx |
Poids |
166.4 kio |
Date |
17 octobre 2007 |
Fichier |
18176adcp_pleinecran.jpg |
Caves pour la macération des essences en cuves.
N° 18178 - jpg
- 600 × 387 pixels
Détails
Crédits |
Collection Archives départementales de la Seine-Saint-Denis © Gaston Francq / Droits réservés |
Dimensions |
600 × 387 pixels |
Résolution |
0.2 Mpx |
Poids |
192.1 kio |
Date |
17 octobre 2007 |
Fichier |
18178adcp_pleinecran.jpg |
A droite du pavillon? de logements et bureaux (disparu), la verrerie, espace annexe du magasin (…)
N° 18180 - jpg
- 600 × 386 pixels
Détails
Crédits |
Collection Archives départementales de la Seine-Saint-Denis © Gaston Francq / Droits réservés |
Dimensions |
600 × 386 pixels |
Résolution |
0.2 Mpx |
Poids |
188.4 kio |
Date |
17 octobre 2007 |
Fichier |
18180adcp_pleinecran.jpg |
Vue extérieure de l’atelier des essences
N° 18182 - jpg
- 600 × 392 pixels
Détails
Crédits |
Collection Archives départementales de la Seine-Saint-Denis © Gaston Francq / Droits réservés |
Dimensions |
600 × 392 pixels |
Résolution |
0.2 Mpx |
Poids |
179.9 kio |
Date |
17 octobre 2007 |
Fichier |
18182adcp_pleinecran.jpg |
N° 18184 - jpg
- 600 × 382 pixels
Détails
Crédits |
Collection Archives départementales de la Seine-Saint-Denis © Gaston Francq / Droits réservés |
Dimensions |
600 × 382 pixels |
Résolution |
0.2 Mpx |
Poids |
197.8 kio |
Date |
17 octobre 2007 |
Fichier |
18184adcp_pleinecran.jpg |
Sortie des ateliers sur l’avenue Jean-Jaurès.
En arrière-plan?, les deux pavillons d’accueil. (…)
N° 18188 - jpg
- 600 × 385 pixels
Détails
Crédits |
Collection Archives départementales de la Seine-Saint-Denis © Gaston Francq / Droits réservés |
Dimensions |
600 × 385 pixels |
Résolution |
0.2 Mpx |
Poids |
192.5 kio |
Date |
17 octobre 2007 |
Fichier |
18188adcp_pleinecran.jpg |
Plan? en coupes et élévation de l’ensemble composé de l’atelier des essences, de la cave aux (…)
N° 15526 - jpg
- 600 × 387 pixels
Détails
Crédits |
Photo Antoine Furio © Archives communales d’Aubervilliers, 2T428 |
Dimensions |
600 × 387 pixels |
Résolution |
0.2 Mpx |
Poids |
237.3 kio |
Date |
22 octobre 2007 |
Fichier |
15526_pleinecran.jpg |
Bâtiment de la manufacture de 1869. Au premier plan?, la chaufferie, au second la distillerie.
N° 1034773 - jpg
- 461 × 346 pixels
Détails
Crédits |
Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
461 × 346 pixels |
Résolution |
0.2 Mpx |
Poids |
137.5 kio |
Date |
3 avril 2023 |
Fichier |
p1090589.jpg |
Écurie, réaffectée en infirmerie puis en bureaux.
N° 1034774 - jpg
- 461 × 346 pixels
Détails
Crédits |
Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
461 × 346 pixels |
Résolution |
0.2 Mpx |
Poids |
143.8 kio |
Date |
3 avril 2023 |
Fichier |
p1090581.jpg |