Restaurée en 2011, la cité Meissonier constitue un exemple remarquable de logements ouvriers en bande de type "coron". Construite en 1914, elle s’inscrivait dans un projet philanthropique plus vaste comprenant un orphelinat, un hôpital, une maison de retraite ainsi que des jardins ouvriers. Implantée sur le site et dans les bâtiments de l’ancienne usine de produits tinctoriaux Meissonier, pionnière dans la fabrication des extraits colorants au XIXe siècle, elle représente un témoignage précoce de reconversion d’architecture industrielle.
Meissonier, un pionnier de la teinture industrielle, 1829-1905
Charles Meissonier (1787-1845), droguiste à Paris, dépose en 1829 un brevet d’importation pour "l’extraction des couleurs des végétaux et du bois de teinture par le moyen de la vapeur" (Brevet n°1BA3276, 1829).
Premier industriel français à utiliser ce procédé, il réussit à le perfectionner en l’appliquant à un plus grand nombre de matières colorantes (garance, gaude, sumar, etc.) tout en en abaissant le coût de production. Ce passage d’une phase expérimentale à une production semi-industrielle oblige Meissonier à transférer son activité sur des terrains plus vastes. C’est à Saint-Denis, 1 rue de Paris, qu’il trouve vers 1835 l’espace nécessaire à son entreprise ainsi qu’une importante clientèle de teinturiers sur laine, sur cuir et imprimeurs sur étoffe à qui il destine principalement sa production. Son fils, Gabriel Meissonier (1817-1880), qui lui succède, poursuit son œuvre en étendant ses activités aux colorants chimiques. Les succès de l’entreprise lui valent d’être primée à diverses expositions internationales, notamment les Expositions universelles de 1851 et 1855.
En raison de l’opposition des riverains, l’établissement est contraint de quitter les abords d’un cours Ragot en formation. Il déménage en 1854 le long du chemin des Poissonniers au lieu-dit « le champ du bois », sur des terres que Meissonier semble posséder déjà depuis plusieurs années. Le secteur s’avère plus propice à accueillir une activité chimique désormais jugée trop insalubre pour se maintenir en centre-ville. Bientôt de nombreuses usines vont rejoindre Meissonier dans ce secteur de la Plaine, notamment ses concurrents directs Mottet et Dalsace, bâtisseurs de la puissante Société des matières colorantes et produits chimiques de Saint-Denis.
Les premières installations de l’usine de la rue des Poissonniers
Située en bordure de Seine, la nouvelle usine est idéalement placée. La voie d’eau permet un acheminement direct des matières premières, notamment des bois tinctoriaux depuis le port du Havre, ainsi qu’une alimentation continue en eau des machines à vapeur.
L’ensemble des étapes de la production se répartit dans deux bâtiments (A et B) disposés de part et d’autre d’une esplanade centrale (C), probablement dédiée au stockage des matières premières. Édifiées à quelques mois d’intervalle, les deux constructions apparaissent de l’extérieur en tout point similaires, révélant une volonté de composition symétrique du site. La répartition des activités semble également obéir à une même logique, chaque bâtiment est divisé en quatre secteurs affectées chacun à une étape du process organisé horizontalement.
Le bâtiment sud, le premier construit, est le seul pour lequel des documents d’archives ont pu être retrouvés. Il comprenait ainsi à l’origine une chaufferie et sa cheminée (disparue) placées au plus proche de la Seine, un local pour la machine à vapeur (disparu), une succession de six ateliers de dimensions identiques (A1), et se terminait par un magasin situé en léger retrait de l’alignement général (A2). Les dispositions du bâtiment nord étaient analogues. Sur un linéaire? bâti de 110 mètres se succédaient : une construction de deux niveaux orientée vers la Seine (disparue), un alignement de six ateliers s’élevant sur deux niveaux construits en briques maçonnées et moellons enduits (B1), et enfin une construction de plain-pied également en maçonnerie de moellons (disparu). Les deux bâtiments comportent chacun des sous-sols mais celui de l’aile sud est constitué d’une série de 15 travées de voûte dont les ogives reposent sur des piliers carrés ainsi que des massifs de maçonnerie. Cette mise en œuvre singulière pour un bâtiment industriel, nous interroge sur sa vocation initiale. Dégageant de beaux volumes, l’espace a pu être utilisé pour le stockage ou la transmission de la force motrice aux machines par arbres à cames et courroies.
Diversification et extensions
La diversification de la production de la maison Meissonier vers d’autres colorants synthétiques et naturels, dont les deux grandes références sont les extraits d’orseille (Orcéine) et de garance (Garancine), nécessite la réalisation de nouvelles constructions. Entre 1875 et 1890 des ateliers sont ainsi édifiés dans le prolongement des premiers bâtiments, puis au centre du terrain (disparus). Des pavillons de logements pour le personnel sont également construits à proximité des ateliers. L’un d’entre eux a été préservé (D). Il s’agit d’une bâtisse modeste, édifiée sur un plan? en « T », comprenant deux niveaux élevés en maçonnerie de moellons et de briques enduites. Par sa forme, ses matériaux et le dessin de ses ouvertures en arcs segmentaires et arcs en plein-cintre à l’étage, elle se rapproche de l’architecture des premiers ateliers.
Du déclin industriel à la mise en œuvre d’un projet philanthropique
Peu après le rachat de l’établissement Meissonier vers 1905 par la Compagnie française des extraits tinctoriaux et tannants, l’usine de Saint-Denis cesse son activité. Mais il semble que le site ait entamé une reconversion dès les années 1890. Sous l’impulsion de la fille du dirigeant, Jeanne Meissonier (1847-1943), un projet philanthropique d’envergure y est initié, débutant par la construction d’un orphelinat au 48 boulevard Ornano (disparu). Placée sous le patronage de Saint Gabriel, en mémoire du bienfaiteur dont l’héritage servit à la construction, cette institution administrée par la congrégation des Salésiens de Don Bosco délivrait enseignement et soins aux orphelins et délaissés. Le projet se poursuit dans les années suivantes par l’ouverture d’un asile pour vieillards doté d’une ferme, par des jardins ouvriers et un hôpital pour blessés militaires. Si l’on ignore le nom de l’architecte, on serait cependant tenté de voir dans l’architecture de cet ensemble certaines similitudes – notamment pour le dessin des ouvertures et les appareillages de briques – avec l’hôtel particulier construit à Poissy par Émile Boeswillwald (1815-1896) vers 1860 pour la famille du peintre Ernest Meissonier (1815-1891), second fils du fondateur de l’entreprise de matières colorantes. Ces bâtiments ont tous été détruits dans les années 1970-1980 lors de l’aménagement de l’autoroute A 86.
La cité-jardin du Champ du Bois
L’actuelle cité Meissonier demeure aujourd’hui le dernier vestige de cette œuvre philanthropique. Présenté sur les premiers plans datant de mars 1914 comme une cité-jardin, l’ensemble devait à l’origine recevoir cent logements. Cependant ni l’esplanade centrale, ni les terrains en bordure des quais de Seine n’ont été lotis selon le projet initial, et seules les emprises des premiers ateliers ont servi de base à l’édification des logements. L’appellation de "caserne" semblerait en outre plus juste au regard de la distribution intérieure particulièrement dense. Chaque maisonnette abritait en effet 3 à 4 logements d’environ 40 m² comprenant 3 chambres et une salle commune. Habitat familial ou chambres individuels, ces logements destinés aux populations modestes offraient tous l’agrément d’un jardinet à exploiter.
Les observations d’archéologie du bâti réalisées en 2011 à l’occasion des travaux de restauration, tendent à attester que les anciens bâtiments des ateliers furent réadaptés pour accueillir les logements, moyennant quelques aménagements. L’enfilade d’ateliers en pignons? se prêtait aisément à cette transformation en logements ouvriers en bande et évoque encore aujourd’hui l’archétype des corons ouvriers.
Après une longue période de déshérence et d’abandon progressif – condamné au POS? en tant que réserve pour infrastructure? – le site a fait l’objet depuis le début des années 2000 d’une reconnaissance patrimoniale grâce à la mobilisation des derniers habitants et les actions de sensibilisation conduite par l’Association Meissonier-La Garance. Cette implication pour la sauvegarde de la cité a abouti à la réalisation en 2010-2012 d’une importante opération de réhabilitation et d’extension conduite par la Société Histoire & Patrimoine et l’Atelier Monchecourt. Une partie des habitants a été maintenue sur place.
Les travaux de restauration et la redécouverte du site
Quelles traces attestent de la transformation de l’ancienne usine en logements ?
En 2011, à l’occasion de la restauration, des ouvertures en plein-cintre percées à l’origine en façade arrière ont été retrouvées comblées. A l’intérieur, la dépose des plafonds a permis de mettre à jour dans l’aile nord des structures métalliques rivetées ainsi que des charpentes métalliques articulées reposant sur des consoles en acier, autant d’éléments caractéristiques de l’architecture industrielle. Seules les façades sur cour semblent avoir été modifiées. Le moellon? et la pierre utilisés massivement en façade arrière sont ici mis en œuvre en ornement (bandeaux, harpage, chaînage? d’angle et de pente de toit) sur des murs maçonnés en briques. L’appareillage? de brique alternant des doubles rangées de panneresses et de boutisses, révèle en lui-même tout le soin apporté à ce projet d’autant mieux mis en valeur à l’occasion de sa restauration. Il en est de même pour le bâtiment situé en arrière-corps (A2) qui, jusqu’ici recouvert par la végétation, a retrouvé sa composition. On est alors troublé par cette construction de moellons et de pierres enduits de plâtre, percée de larges baies? en arcs segmentaires, et coiffée d’un toit à la Mansart percé de lucarnes et d’œils-de-bœuf, plus proche d’une orangerie que d’un bâtiment industriel. Reconstruit à l’identique sur l’aile nord (B2), le site a retrouvé sa symétrie d’autrefois.
Dernier édifice restauré, un pavillon? double (E) construit vers 1920 le long du chemin conduisant du boulevard Ornano à la cité Meissonier. A la différence des autres logements, ce denier est entièrement en briques. La maçonnerie de briques jaunes est agrémentée de briques rouges formant modénature? : couronnement? des baies cintrées, bandeaux et crénelage au niveau des pentes de toit. Le plan en « U », composé d’un corps central de plain-pied et de deux ailes s’élevant sur deux niveaux, a perdu de sa cohérence. Aux extensions hasardeuses s’ajoutent un inversement des façades, la principale ayant été obstruée par un mur de clôture séparant la parcelle de la zone d’activité « Urbaparc ».
Date de construction
1854; 1913; 1920
Organisme
service du patrimoine culturel de la Seine-Saint-Denis
Date de découverte ou d'enquête
1988; 2011
Destination successive
lotissement concerté
Source
AM Saint-Denis : 2O212, CT1207 ; AD93 : DM5-6
Parties constituantes
ateliers de fabrication; magasin industriel; aire de stockage
Illustrations
Façade principale du magasin sud avant restauration.
N° 1032509 - jpg
- 960 × 1280 pixels
Détails
Crédits |
Photo Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
960 × 1280 pixels |
Résolution |
1.2 Mpx |
Poids |
214.9 kio |
Date |
21 juillet 2003 |
Fichier |
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Maison de famille appartenant au peintre Ernest Meissonier, construite à Poissy sur les terrains (…)
N° 1032513 - jpg
- 696 × 555 pixels
Détails
Crédits |
Jean-Bernard Vialles © Inventaire général, ADAGP |
Dimensions |
696 × 555 pixels |
Résolution |
0.4 Mpx |
Poids |
132.3 kio |
Date |
1er janvier 2004 |
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Façade arrière des ateliers sud avant leur restauration. Mis à jour de l’accès aux caves.
N° 1032510 - jpg
- 800 × 1067 pixels
Détails
Crédits |
© Unité d’archéologie de Saint-Denis |
Dimensions |
800 × 1067 pixels |
Résolution |
0.9 Mpx |
Poids |
210 kio |
Date |
21 juillet 2009 |
Fichier |
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Vue des logements nord avant restauration.
N° 1032514 - jpg
- 800 × 600 pixels
Détails
Crédits |
© Unité d’archéologie de Saint-Denis |
Dimensions |
800 × 600 pixels |
Résolution |
0.5 Mpx |
Poids |
118.8 kio |
Date |
31 juillet 2009 |
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Pavillon? pour le personnel de l’usine
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- 800 × 1067 pixels
Détails
Crédits |
© Unité d’archéologie de Saint-Denis |
Dimensions |
800 × 1067 pixels |
Résolution |
0.9 Mpx |
Poids |
175.5 kio |
Date |
18 décembre 2009 |
Fichier |
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Aile sud en cours de restauration
N° 1032517 - jpg
- 800 × 532 pixels
Détails
Crédits |
© Unité d’archéologie de Saint-Denis |
Dimensions |
800 × 532 pixels |
Résolution |
0.4 Mpx |
Poids |
120 kio |
Date |
5 janvier 2010 |
Fichier |
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Appareillage? complexe, alternance de deux rangées de boutisses et deux rangées de panneresses.
N° 1032519 - jpg
- 800 × 532 pixels
Détails
Crédits |
© Unité d’archéologie de Saint-Denis |
Dimensions |
800 × 532 pixels |
Résolution |
0.4 Mpx |
Poids |
106 kio |
Date |
5 janvier 2010 |
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Caves des ateliers sud, vue des travées de voûtes.
N° 1032508 - jpg
- 800 × 532 pixels
Détails
Crédits |
© Unité d’archéologie de Saint-Denis |
Dimensions |
800 × 532 pixels |
Résolution |
0.4 Mpx |
Poids |
84.2 kio |
Date |
15 mars 2010 |
Fichier |
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Caves des ateliers sud, vue des travées de voûte et d’une croisée d’ogive.
N° 1032511 - jpg
- 838 × 569 pixels
Détails
Crédits |
© Unité d’archéologie de Saint-Denis |
Dimensions |
838 × 569 pixels |
Résolution |
0.5 Mpx |
Poids |
396.1 kio |
Date |
15 mars 2010 |
Fichier |
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Vue d’une autre console métallique, élément de la structure? préexistante des premiers ateliers (…)
N° 1032522 - jpg
- 576 × 768 pixels
Détails
Crédits |
© Unité d’archéologie de Saint-Denis |
Dimensions |
576 × 768 pixels |
Résolution |
0.4 Mpx |
Poids |
340.6 kio |
Date |
27 octobre 2010 |
Fichier |
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Vue d’une console métallique, élément de la structure? préexistante des premiers ateliers de (…)
N° 1032520 - jpg
- 576 × 768 pixels
Détails
Crédits |
© Unité d’archéologie de Saint-Denis |
Dimensions |
576 × 768 pixels |
Résolution |
0.4 Mpx |
Poids |
333.3 kio |
Date |
28 octobre 2010 |
Fichier |
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Détail du poinçon de la charpente métallique, vestige de la structure? primitive de l’usine (…)
N° 1032521 - jpg
- 800 × 1067 pixels
Détails
Crédits |
© Unité d’archéologie de Saint-Denis |
Dimensions |
800 × 1067 pixels |
Résolution |
0.9 Mpx |
Poids |
98.2 kio |
Date |
28 octobre 2010 |
Fichier |
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Aile sud en cours de restauration. Au centre l’ancien aire de stockage aménagé en parking (…)
N° 1032527 - jpg
- 851 × 566 pixels
Détails
Crédits |
© Unité d’archéologie de Saint-Denis |
Dimensions |
851 × 566 pixels |
Résolution |
0.5 Mpx |
Poids |
375.1 kio |
Date |
21 décembre 2010 |
Fichier |
no178p_2__v.jpg |
N° 1032497 - jpg
- 1199 × 771 pixels
Détails
Crédits |
© Droits réservés |
Dimensions |
1199 × 771 pixels |
Résolution |
0.9 Mpx |
Poids |
166.8 kio |
Date |
21 décembre 2011 |
Fichier |
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N° 1032498 - jpg
- 1199 × 774 pixels
Détails
Crédits |
© Archives municipales de Saint-Denis, 2Fi14-0052 |
Dimensions |
1199 × 774 pixels |
Résolution |
0.9 Mpx |
Poids |
166 kio |
Date |
21 décembre 2011 |
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Pâturages pour les animaux de la ferme de la maison de retraite Meissonier. On devine en arrière (…)
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- 493 × 322 pixels
Détails
Crédits |
© Droits réservés |
Dimensions |
493 × 322 pixels |
Résolution |
0.2 Mpx |
Poids |
132.6 kio |
Date |
21 décembre 2011 |
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Maison de retraite Meissonier, vers 1910 (disparue). Comme pour les ateliers, la conception de (…)
N° 1032500 - jpg
- 841 × 546 pixels
Détails
Crédits |
© Droits réservés |
Dimensions |
841 × 546 pixels |
Résolution |
0.5 Mpx |
Poids |
91.5 kio |
Date |
21 décembre 2011 |
Fichier |
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Jardins de la maison de retraite
N° 1032501 - jpg
- 1199 × 739 pixels
Détails
Crédits |
© Archives municipales de Saint-Denis, 2Fi15-0419 |
Dimensions |
1199 × 739 pixels |
Résolution |
0.9 Mpx |
Poids |
116.1 kio |
Date |
21 décembre 2011 |
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Ferme de la maison de retraite
N° 1032502 - jpg
- 822 × 528 pixels
Détails
Crédits |
© Droits réservés |
Dimensions |
822 × 528 pixels |
Résolution |
0.4 Mpx |
Poids |
432 kio |
Date |
21 décembre 2011 |
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Orphelinat Saint-Gabriel et sa chapelle (disparus) transformé durant la première guerre mondiale (…)
N° 1032503 - jpg
- 930 × 614 pixels
Détails
Crédits |
© Droits réservés |
Dimensions |
930 × 614 pixels |
Résolution |
0.6 Mpx |
Poids |
391.5 kio |
Date |
21 décembre 2011 |
Fichier |
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Disposition des ateliers au moment de leur construction. La cheminée, ainsi que les salle des (…)
N° 1032504 - jpg
- 1063 × 277 pixels
Détails
Crédits |
© Archives municipales de Saint-Denis, CT1207 |
Dimensions |
1063 × 277 pixels |
Résolution |
0.3 Mpx |
Poids |
243.7 kio |
Date |
21 décembre 2011 |
Fichier |
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Coupe et élévation d’un bâtiment type. Chaque bâtiment semblait comprendre par travée? une salle (…)
N° 1032505 - jpg
- 709 × 455 pixels
Détails
Crédits |
© Archives municipales de Saint-Denis, 2O212 |
Dimensions |
709 × 455 pixels |
Résolution |
0.3 Mpx |
Poids |
261.8 kio |
Date |
21 décembre 2011 |
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Projet initial, resté inachevé, de la cité-jardin du Champs du bois
N° 1032507 - jpg
- 605 × 1063 pixels
Détails
Crédits |
© Archives municipales de Saint-Denis, 2O212 |
Dimensions |
605 × 1063 pixels |
Résolution |
0.6 Mpx |
Poids |
470.8 kio |
Date |
21 décembre 2011 |
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Aile nord après restauration
N° 1032515 - jpg
- 768 × 576 pixels
Détails
Crédits |
Photo Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
768 × 576 pixels |
Résolution |
0.4 Mpx |
Poids |
311.2 kio |
Date |
21 mars 2012 |
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Façade avant du magasin nord après restauration
N° 1032523 - jpg
- 768 × 576 pixels
Détails
Crédits |
Photo Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
768 × 576 pixels |
Résolution |
0.4 Mpx |
Poids |
327.1 kio |
Date |
21 décembre 2012 |
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Pavillon? du personnel après restauration
N° 1032525 - jpg
- 768 × 576 pixels
Détails
Crédits |
Photo Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
768 × 576 pixels |
Résolution |
0.4 Mpx |
Poids |
356 kio |
Date |
21 décembre 2012 |
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Façade arrière des pavillons en « U », comprenant une partie restaurée, au second plan?, et une (…)
N° 1032526 - jpg
- 768 × 576 pixels
Détails
Crédits |
Photo Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
768 × 576 pixels |
Résolution |
0.4 Mpx |
Poids |
368.2 kio |
Date |
21 décembre 2012 |
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Façade du magasin sud reconstruit à l’identique.
N° 1032524 - jpg
- 768 × 576 pixels
Détails
Crédits |
Photo Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
768 × 576 pixels |
Résolution |
0.4 Mpx |
Poids |
301.2 kio |
Date |
21 décembre 2012 |
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Façades arrière des logements de l’aile sud après restauration.
N° 1032518 - jpg
- 768 × 576 pixels
Détails
Crédits |
Photo Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
768 × 576 pixels |
Résolution |
0.4 Mpx |
Poids |
346.1 kio |
Date |
21 décembre 2012 |
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Plan? d’occupation du site en 1939 localisant les bâtiments détruits, conservés et reconstruits.
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- 686 × 485 pixels
Détails
Crédits |
© Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
686 × 485 pixels |
Résolution |
0.3 Mpx |
Poids |
295.9 kio |
Date |
21 décembre 2012 |
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Cité Meissonier restauré.
N° 1032496 - jpg
- 700 × 467 pixels
Détails
Crédits |
Didier Blavette © Altelia |
Dimensions |
700 × 467 pixels |
Résolution |
0.3 Mpx |
Poids |
318.2 kio |
Date |
21 janvier 2013 |
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