Lorsque la société Essuyage d’Ile-de-France (EIF) s’installe sur le site au début des années 1970, celle-ci hérite d’un établissement sur lequel se sont succédées durant un siècle près de huit entreprises. Aucune d’entre elle n’aura marqué de manière significative l’histoire industrielle locale bien qu’elles perpétuèrent une activité représentative du territoire, le travail des peaux et étoffes. Résolument inscrite dans l’histoire et le paysage montreuillois par ses origines et son implantation au cœur du secteur des murs à pêches, l’établissement révèle en outre aujourd’hui une valeur architecturale jusqu’alors insoupçonnée.
Un établissement modeste mais inscrit dans l’histoire locale
La première occupation industrielle du site est attestée en 1871. Celle-ci paraît directement liée à la proximité de la manufacture de cuirs vernis de Théophile Sueur pour laquelle l’entreprise effectue le dégraissage des peaux. Malgré l’étroitesse de la parcelle en lanière - caractéristique du secteur - l’entreprise trouve ici les moyens de se développer notamment en exploitant le ru Gobétue qui lui fournit l’eau nécessaire à son activité. Une situation particulièrement favorable dont se saisit en 1893 un membre de la famille Sueur qui rachète l’établissement détenue à cette époque par une certaine dame Morel.
Entre 1893 et 1900 l’établissement change d’occupant à plusieurs reprises. Les activités se diversifient et l’entreprise s’émancipe progressivement des liens de sous-traitance jusqu’alors entretenus avec la manufacture des cuirs Sueur. Les ateliers de dégraissage des peaux s’enrichissent de nouvelles installations dédiées au lavage à sec des étoffes (vêtements, tissu, tapis, rideaux, etc.). La clientèle s’étoffe, le réseau s’étend et comprend dorénavant, en plus de la mégisserie, les chaussures, la sellerie et l’ameublement, dont la concentration se montre importante sur Montreuil comme dans les proches faubourgs parisiens.
La reprise du site par Jouault en 1900, puis par Vivetta en 1925, perpétue cette double activité de dégraissage et nettoyage à sec des peaux et étoffes. La société Vivetta y adjoint celle de la teinturerie qui se maintiendra comme les deux premières jusqu’aux années 1970. Durant cette longue période, de nombreuses modifications sont apportées tant sur l’organisation du site que sur les procédés de fabrication.
Une des plus notables est le remplacement par le perchloréthylène de la benzine, dégraissant inflammable responsable, en 1900, d’un important incendie ayant nécessité la reconstruction quasi-complète de l’usine. D’autres campagnes de constructions et d’extensions sont conduites dans les années 1930 et 1960, offrant à la société EIF un ensemble composé de treize bâtiments lors de son rachat vers 1970.
Dernier occupant industriel des lieux, EIF produit divers textiles à usage unique pour le domaine médical et l’industrie. Scindée en deux entités autonomes, Segetex-EIF et EIF-Astute, l’entreprise ne conserve à Montreuil que cette dernière unité spécialisée dans les systèmes d’échantillonnage jusqu’à son départ en 2019.
Un site marqué par la sédimentation architecturale
La diversité des bâtiments qui composent le site EIF est significative des évolutions que traverse l’établissement au cours de son histoire et de son adaptation permanente aux besoins de la production.
L’association des matériaux et leurs multiples mises en œuvre témoignent de cette construction progressive. A l’entrée, un atelier/séchoir (2) édifié en bois, vers 1890, va être étendu en 1930 par une construction en béton et briques. Face à lui, un atelier de lavage construit en ciment armé, vers 1900 (13), sera prolongé de deux travées faites de métal et de briques trente ans plus tard (12).
La strate de constructions la plus importante est celle des années 1930. A cette époque, les établissements Vivetta souhaitant tripler les capacités de production du site font élever de nouveaux bâtiments. Une teinturerie s’élevant sur trois niveaux est édifiée à l’emplacement d’anciens quais et magasins (3), un vaste dépôt de stockage sur une partie de la cour (5), un garage en fond de parcelle (8), puis des extensions des dépôts de benzine (10), une chaufferie (6-7), un séchoir à vapeur etc.
Là encore s’associent éléments de structure? en béton et en acier, avec des remplissages de briques beiges en silico-calcaire ou rouges en argile. Mais ici ces combinaisons de matériaux répondent prioritairement à des problématiques structurelles. Les poteaux en béton armé? de l’atelier de teinturerie (3) supportent un lourd plancher fait de poutres en acier riveté hourdies de béton ; le rez-de-chaussée? du même atelier étant trop élevé pour recevoir des menuiseries en métal justifiera le recours à nouveau au ciment armé.
Après-guerre, les aménagements ralentissent sensiblement. Seule réalisation notable, le dépôt de tri édifié à l’ouest (14) vers 1960. Sa construction très standardisée, en parpaings et profilés? de métal, témoigne d’une nouvelle étape dans la conception des bâtiments industriels, en même temps qu’elle marque une nouvelle génération d’édifices sur le site.
La dernière phase de construction est conduite par EIF dans les années 1980. Sur des terrains déjà densément occupés, son intervention se résume à la couverture d’une cour (16) et à l’installation de préfabriqués (15).
Des architectures avant tout fonctionnelles
En dehors des sauts chronologiques et de la multiplicité des matériaux rencontrés, la diversité des formes architecturales présente sur le site participe à son caractère hétérogène. Volumineux ou étroits, à niveaux ou de plain pied, couverture en sheds? ou à deux pans, cette variété provient du souci qu’ont eu les différents occupants d’adapter systématiquement le bâtiment à sa fonction, le tout dans l’espace contraint de la parcelle. Ici, pas d’édifices superflus, ni d’ailleurs d’éléments d’ornementation ou de décors accessoires, la recherche de rationalisation? de la chaîne opératoire et la fonctionnalité ont présidé à la construction des bâtiments et à leur disposition sur le site.
L’atelier de teinturerie (3) se déploie ainsi sur trois niveaux afin de répondre à l’organisation de l’activité. Le rez-de-chaussée est consacré aux postes « humides », les étages aux postes « secs » de traitement et de séchage par air chaud.
La forme étroite et verticale du dépôt de benzine (10) est, quant à elle, directement liée au dispositif de support des cuves du dissolvant, structure haute visant à écouler les liquides par gravité.
D’autres systèmes découlent encore des nécessités de la production, telles les claires-voies en bois des séchoirs à air libre (2), ou les lanterneaux ajourés favorisant la circulation de l’air au sein de la chaufferie (6).
Un dispositif se montre particulièrement significatif sur le site, faisant figure de marqueur paysager, le shed. Cette toiture asymétrique, en « dents de scie », se retrouve ainsi sur cinq bâtiments, couvrant la moitié des surfaces bâties. L’orientation de ses parties vitrées au nord, les systèmes d’aérations qui lui sont souvent associées, assurent un éclairage optimum et une circulation de l’air, particulièrement adaptés aux activités en atelier. La teinturerie en est dotée (3), et l’atelier de nettoyage à sec (12, 13) également.
Devenu un modèle de la construction industrielle, maîtrisé par l’ensemble des constructeurs, le shed est progressivement utilisé pour d’autres bâtiments que ceux de production. Sur le site EIF, comme ailleurs en France, il coiffe des dépôts et magasins (5, 9). Un modèle s’avère particulièrement intéressant à Montreuil, voire unique, celui couvrant l’atelier de nettoyage à sec (13).
Un modèle de toiture en sheds unique en France
En 1900, un incendie ravage la quasi-totalité de l’usine tenue à l’époque par M. Jouault. Deux jours ont été nécessaires pour vaincre le sinistre au prix de plusieurs morts et blessés parmi les ouvriers et sapeurs-pompiers. La Préfecture de la Seine, soucieuse qu’un tel incident ne se reproduise, autorise l’industriel à reconstruire son installation sous la condition stricte que ne soient utilisés que des matériaux incombustibles. Pour la réalisation de son projet, celui-ci s’attache les services de Georges Guët (1866-1936), jeune architecte diplômé de l’École Spéciale d’Architecture. Ancien élève d’Émile Trélat et d’Anatole de Baudot, familiarisé avec les procédés de constructions les plus novateurs, il présente à Jouault un projet d’atelier entière conçu en briques et ciment armé pour abriter la nouvelle chaufferie et le nettoyage à sec.
S’inspirant du modèle pionnier mis en œuvre en 1894 par François Hennebique pour la raffinerie de Saint-Ouen, l’architecte propose de couvrir son bâtiment d’une toiture en sheds. Cependant, à la différence de Hennebique, Georges Guët ne reprend pas la forme traditionnelle des « dents de scie », mais propose des élévations trapézoïdales et triangulaires surmontées d’extracteurs d’air. La configuration spécifique de ces installations est à même de générer un « tirage d’air » facilitant, peut-être plus que dans d’autres systèmes, l’évacuation par le haut des vapeurs nocives de benzine et des éventuelles fumées d’incendie. Leurs constructions se montrent par contre particulièrement complexes, et reposent sur trois rangées de poteaux en briques armées portant les nervures et les poutres en béton armé des sheds. Un procédé dérivé du système avec épine-contrefort développé par l’ingénieur Paul Cottancin et beaucoup défendu par Anatole de Baudot dans la restauration des monuments Historiques.
Particulièrement ingénieux, et répondant autant aux exigences sécuritaires de l’Administration qu’aux attentes hygiénistes? des industriels, ce dispositif ne semble pour autant pas avoir été reproduit pour d’autres établissements en France.
Coût de la construction ? Obsolescence du système ? Faiblesse autour de sa promotion ? Consommateur d’espace ? Les raisons pour lesquelles il ne dépassa jamais le stade de l’expérimentation nous sont encore inconnues.
Après plus d’un siècle d’utilisation, l’atelier se présente en 2016 lourdement remanié et dégradé. La cheminée de la chaufferie a été déposée, des baies? ont été comblées, la toiture percée et des aménagements intérieurs obstruent les sheds. La structure présente par ailleurs certains désordres.
Pour autant, malgré ces inconvénients, force est de constater qu’il constitue un exemple unique à l’échelle? nationale, apportant un nouvel éclairage sur la généalogie des sheds en béton en France.
Après plusieurs années de projets avortés et d’occupations provisoires, le site est identifié en 2022 pour recevoir les locaux de la Maison Populaire, association de pratiques culturelles, artistiques et sportives présente à Montreuil depuis la fin des années 1960.
Date de construction
1871; 1891; 1900; 1907; 1927; 1932; 1960; 1985; 1995
Organisme
Service du patrimoine culturel, Département de la Seine-Saint-Denis
Date de rédaction
2000; 2017; 2022
Date de découverte ou d'enquête
2000; 2016
Destination successive
brasserie; ébénisterie; bureaux
Auteur
Georges Guët architecte
Qualification de datation
campagne(s) de construction
Parties constituantes
atelier de fabrication ; bureau; chaufferie; entrepôt industriel; logement patronal
Servitude protection
sans objet
Illustrations
Plan? de la trame? et de l’implantation des équipements de l’atelier et de la chaufferie. (…)
N° 1033301 - jpg
- 1225 × 547 pixels
Détails
Crédits |
© Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, 1322W238 |
Dimensions |
1225 × 547 pixels |
Résolution |
0.7 Mpx |
Poids |
528.2 kio |
Date |
20 décembre 2016 |
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N° 1033302 - jpg
- 997 × 656 pixels
Détails
Crédits |
© Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, 1322W238 |
Dimensions |
997 × 656 pixels |
Résolution |
0.7 Mpx |
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Date |
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Plan? d’ensemble des installations de l’usine, Georges Guët architecte, 1907.
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- 992 × 391 pixels
Détails
Crédits |
© Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, 1322W238 |
Dimensions |
992 × 391 pixels |
Résolution |
0.4 Mpx |
Poids |
281.7 kio |
Date |
20 décembre 2016 |
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Vue intérieur du garage.
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- 1152 × 864 pixels
Détails
Crédits |
Photo Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
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411.1 kio |
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Au premier plan? ancien bâtiment de stockage puis de bureaux. Au second plan l’atelier de (…)
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Photo Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
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437.7 kio |
Date |
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Première tranche du magasin de stockage ; façade côté cour.
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- 922 × 691 pixels
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Photo Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
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922 × 691 pixels |
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377.2 kio |
Date |
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Vue intérieur d’un plateau de l’atelier de teinturerie
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- 922 × 691 pixels
Détails
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Photo Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
922 × 691 pixels |
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470.8 kio |
Date |
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Ancien logement puis bureaux marquant l’entrée du site.
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Crédits |
Photo Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
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922 × 691 pixels |
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398.1 kio |
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- 834 × 1095 pixels
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Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
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834 × 1095 pixels |
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535.1 kio |
Date |
20 décembre 2016 |
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Vue depuis la rue Pierre de Montreuil du bâtiment de la chaufferie et de l’atelier de nettoyage (…)
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Photo Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
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386.9 kio |
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Façade ouest du garage automobile et atelier d’entretien occupé par une brasserie.
Construit (…)
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- 862 × 959 pixels
Détails
Crédits |
Photo Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
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0.8 Mpx |
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390.1 kio |
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Façade sur cour de l’extension de l’atelier et du séchoir. Au second plan? l’atelier de teinturerie.
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- 863 × 1025 pixels
Détails
Crédits |
Photo Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
863 × 1025 pixels |
Résolution |
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406.9 kio |
Date |
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Prise de vue ouest de la chaufferie et dépôt.
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- 1152 × 864 pixels
Détails
Crédits |
Photo Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
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Construit en deux phases, puis récemment adapté aux activités d’Astute-EIF, ce bâtiment a (…)
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- 1152 × 864 pixels
Détails
Crédits |
Photo Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
1152 × 864 pixels |
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413.9 kio |
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Le principal intérêt de ce bâtiment « enveloppe » réside dans la conservation des anciennes (…)
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- 846 × 1062 pixels
Détails
Crédits |
Photo Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
846 × 1062 pixels |
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418.3 kio |
Date |
20 décembre 2016 |
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Vue du système constructif d’un shed triangulaire en brique et ciment armé qui coiffaient les (…)
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- 922 × 691 pixels
Détails
Crédits |
Photo Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
922 × 691 pixels |
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0.6 Mpx |
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289.1 kio |
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Vue de la toiture en sheds? de l’atelier de teinturerie, véritable repère urbain, signalant la (…)
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- 1140 × 713 pixels
Détails
Crédits |
Photo Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
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302.7 kio |
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Intérieur de l’atelier, détail du dispositif structurel des sheds? trapézoïdaux en brique et (…)
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- 922 × 691 pixels
Détails
Crédits |
Photo Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
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0.6 Mpx |
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353.5 kio |
Date |
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Façade est de l’atelier avec émergence de la partie séchoir.
Au second plan?, la teinturerie.
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- 1152 × 864 pixels
Détails
Crédits |
Photo Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
1152 × 864 pixels |
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369.8 kio |
Date |
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Vue intérieure du magasin et de son système constructif de poteaux et poutres constitués (…)
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- 1152 × 864 pixels
Détails
Crédits |
Photo Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
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383.7 kio |
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Détail de la partie séchoir. Il constitue l’un des bâtiments les plus anciens du site, datant (…)
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- 1382 × 1037 pixels
Détails
Crédits |
Photo Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
1382 × 1037 pixels |
Résolution |
1.4 Mpx |
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514.6 kio |
Date |
20 décembre 2016 |
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Détail des deux typologies de sheds? trapézoïdaux et triangulaires ayant conservés leurs parties (…)
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- 1382 × 1037 pixels
Détails
Crédits |
Photo Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
1382 × 1037 pixels |
Résolution |
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Poids |
523 kio |
Date |
20 décembre 2016 |
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Vue de la couverture des sheds? trapézoïdaux et triangulaires réalisés en brique et ciment armé (…)
N° 1033210 - jpg
- 1152 × 864 pixels
Détails
Crédits |
Photo Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
1152 × 864 pixels |
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Cette typologie? d’ateliers à étages couverts de sheds? est représentative d’une organisation (…)
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- 1382 × 1037 pixels
Détails
Crédits |
Photo Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
1382 × 1037 pixels |
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1.4 Mpx |
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561.1 kio |
Date |
20 décembre 2016 |
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N° 1033215 - jpg
- 1382 × 1037 pixels
Détails
Crédits |
Photo Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
1382 × 1037 pixels |
Résolution |
1.4 Mpx |
Poids |
575.4 kio |
Date |
20 décembre 2016 |
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Vue intérieure du dépôt des cuves de benzine.
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- 1382 × 1037 pixels
Détails
Crédits |
Photo Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
1382 × 1037 pixels |
Résolution |
1.4 Mpx |
Poids |
612.5 kio |
Date |
20 décembre 2016 |
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Vue extérieure du dépôt de benzine.
N° 1033217 - jpg
- 864 × 1152 pixels
Détails
Crédits |
Photo Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
864 × 1152 pixels |
Résolution |
1.0 Mpx |
Poids |
426.2 kio |
Date |
20 décembre 2016 |
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Vue intérieure de l’atelier de teinturerie.
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- 1152 × 864 pixels
Détails
Crédits |
Photo Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
1152 × 864 pixels |
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1.0 Mpx |
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438.4 kio |
Date |
20 décembre 2016 |
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Détail du shed trapézoïdal en brique et ciment armé.
N° 1033220 - jpg
- 1152 × 864 pixels
Détails
Crédits |
Photo Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
1152 × 864 pixels |
Résolution |
1.0 Mpx |
Poids |
461.1 kio |
Date |
20 décembre 2016 |
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Plan? du shed triangulaire du bâtiment de chaufferie et du nettoyage à sec. Georges Guët (…)
N° 1033222 - jpg
- 577 × 517 pixels
Détails
Crédits |
© Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, 1322W238 |
Dimensions |
577 × 517 pixels |
Résolution |
0.3 Mpx |
Poids |
148.9 kio |
Date |
20 décembre 2016 |
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Papier à entête de la maison G. Dubois & Jacomet, spécialiste de nettoyage à sec, 1912.
Vue (…)
N° 1033224 - jpg
- 917 × 678 pixels
Détails
Crédits |
© Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, 1322W238 |
Dimensions |
917 × 678 pixels |
Résolution |
0.6 Mpx |
Poids |
606.6 kio |
Date |
20 décembre 2016 |
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Le bâtiment présente une composition structurelle des plus classiques, en métal et briques (…)
N° 1033196 - jpg
- 1152 × 864 pixels
Détails
Crédits |
Photo Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
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Résolution |
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Poids |
413.1 kio |
Date |
20 décembre 2016 |
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Détail en plan? du shed trapézoïdal du bâtiment de la chaufferie et du nettoyage à sec. Georges (…)
N° 1033221 - jpg
- 1024 × 768 pixels
Détails
Crédits |
© Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, 1322W238 |
Dimensions |
1024 × 768 pixels |
Résolution |
0.8 Mpx |
Poids |
302.1 kio |
Date |
20 décembre 2016 |
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Façade sur cour de l’atelier. A gauche, la chaufferie surmontée d’une cheminée, à droite, (…)
N° 1033223 - jpg
- 2216 × 749 pixels
Détails
Crédits |
© Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, 1322W238 |
Dimensions |
2216 × 749 pixels |
Résolution |
1.7 Mpx |
Poids |
748.9 kio |
Date |
20 décembre 2016 |
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Détail du lanterneau? métallique ajouré, caractéristique des dispositifs de circulation d’air au (…)
N° 1033211 - jpg
- 1382 × 1037 pixels
Détails
Crédits |
Photo Antoine Furio © Département de la Seine-Saint-Denis |
Dimensions |
1382 × 1037 pixels |
Résolution |
1.4 Mpx |
Poids |
535.9 kio |
Date |
20 décembre 2022 |
Fichier |
p1040214v.jpg |